Le médecin malgré lui

• La plus populaire et nerveuse des farces de Molière

Mise en scène originale, dans l'esprit des comédies ballets. A voir et revoir en famille, pour tout public. 

Sganarelle est un fagoteur goguenard, enclin à la boisson, qui bat sa femme Martine. Cette dernière, désireuse de se venger, le fait passer pour médecin, en expliquant aux bonnes gens qui nécessitent son aide qu’il ne confessera sa profession qu’après avoir été roué de coups…  Farce, danse, satire des médecins et intrigue amoureuse sont les ingrédients de cette comédie savoureuse.

Par la Cie Candela. Distribution en alternance.

• Intentions

Mise en scène classique ?
Originale, la mise en scène s’attache au plaisir et au rire de la comédie de Molière, dans l’esprit de toucher le grand public. Fidèle à son alchimie, Eudes Drivet réintroduit la danse, au même titre que les comédies ballet sous Louis XIV. Langage universel, dramaturgie, émerveillement… les danses, baroques et contemporaines, remportent un franc succès aussi bien auprès des petits que des grands. La musique, décor ou illustration sonore,indissociable des lumières et des costumes,nous plonge au coeur du XVIIème siècle.

Pourquoi ce Molière et pas un autre ?
Le Médecin malgré lui n’est pas une farce ordinaire, au contraire... La hiérarchie sociale est bousculée, les rapports amoureux exacerbés. Ainsi Sganarelle nous emporte dans la comédie la plus savoureuse, la plus populaire que la farce ait connue. Bien que le texte semble léger par la comédie, Molière rend la dimension humaine plus profonde et plus grave.

Ce spectacle, dynamique par la mise en scène et la qualité des comédiens, réconcilie les plus réticents avec le théâtre classique, montrant que les textes de Molière sont toujours d’actualité. A prescrire sans modération…

• La presse

« La pièce est aujourd’hui revisitée par la compagnie Candela et mise en scène par Eudes Drivet.(...) Sganarelle nous emporte dans la comédie la plus nerveuse, la plus populaire que la farce est connue. Jouée pour la première fois en 1666, Molière nous montre que ses textes sont toujours d’actualité. » Neuilly Journal, décembre 2005