Comédie musicale des Mômes Printemps
Que font elles ?
Qui sont elles ?
Que cherchent elles ?
Deux voix, un piano, quelques accessoires, tout est là ! Avec un humour féroce, Marjolaine et Violette Printemps, deux poupées d’antan, incarnent la Femme dans tous ses états « telle qu’on veut bien la voir ».
Elles jouent des chansons de femmes, parfois méconnues du public, parmi les plus grandes : Damia, Fréhel, Mistinguett, Marie Dubas, Eugénie Buffet, Arletty et Edith Piaf, pour nous raconter les petits et grands événements de l’Histoire des femmes de 1900 à 1938.
Des histoires d’hommes vues par les femmes pensées par des hommes, ou des histoires de femmes vues par les hommes pour des femmes, ou bien des histoires d’hommes et de femmes vues par des femmes et des hommes pour des hommes et des femmes. C’est compliqué comme la vie !
Elles dansent un peu
Elles accessoirisent beaucoup
Elles se détestent passionnément
Elles chantent à la folie
Elles ne mélodramatisent pas du tout
Elles nous font rire souvent jaune et quelques fois noir
Elles racontent en chansons les petits et grands événements de l’Histoire des femmes.
Marjolaine et Violette Printemps, deux personnages au charme des poupées d’antan prennent vie aujourd’hui pour nous raconter hier.
L’une, pin-up naïve, l’éternel féminin maladroit. L’autre, vieille fille aigrie qui cherche sa place. Elles sont tour à tour la jeune fille de bonne famille, la bourgeoise hystérique, la prostituée, la militante, toutes mineures et sans tuteurs dans la société.
Dans leur univers de mômes : un mobilier d’enfants, des poupées, un bilboquet, une dînette, des mini instruments, autant d’éléments qui participent à créer une atmosphère fraîche et charmante, à entretenir un certain « décalage »…
10 ans les séparent, 10 ans c’est lourd ! C’est un même sens de l’humour qui les réunit. Marine trouve les chansons, Sandrine les réarrange, elles écrivent le spectacle à quatre mains.
A ressusciter ce patrimoine
à faire découvrir aux jeunes ces chansons témoins de notre histoire
à rappeler, avec humour, à chacune et chacun que rien n’est jamais acquis
que le progrès social reste de sa responsabilité propre
39, rue des Trois Frères 75018 Paris