Résumé
« Au commencement… »
« Eléments de la doctrine… »
La presse
Luciani Albino, le bon pape fraîchement élu, et son camarade de la classe d'accordéon du Vatican apportent un éclairage véridique et humoristique sur l’enfance de Jésus et les fondements politiques de son premier miracle. Un périple humaniste attesté par Sainte Anne, le fils d'Hérode, les anges, Joseph et tant d'autres...
Patrick Mons, comédien, et Jean-Luc Larive, accordéoniste, vous convient à un voyage initiatique, comme un coup porté au foi de nos âmes coupables.
Tels les rois mages à la poursuite de l'étoile, deux voyageurs font étape : Luciani Albino, le bon pape fraîchement élu, flanqué d'un camarade de la classe d'accordéon du Vatican. Leur quête à travers l'Europe est de porter la parole, une parole singulière, pas si éloignée que ça de la parole originelle…
Avant de proposer à chacune de leurs étapes un chantier de jeunesse, ils ne se privent pas de rappeler quelques vérités élémentaires sur l’enfance de Jésus et les fondements politiques de son premier miracle. Luciani et son compère, sous couvert d’homélie retentissante, nous embarquent pour un sacré périple. Sainte Anne, le fils d'Hérode, les anges, Joseph, les rois mages, la Madone, l'étoile et les enfants de Jaffa attesteront de la véracité du récit.
Seront réquisitionnés en vrac : un chameau, une brouette, un vieil âne essoufflé, une bicyclette corrompue (cadeau pourri d'un certain " Merckx " ), le maigre dos de ce pauvre Joseph, bref tout ce qui ici bas avance, marche, vole, roule, respire …
“C'est drôle, sans ironie, marqué par une tendresse et une humanité infinies, burlesque aussi. C'est simple, humble à l'image de l'auteur et des personnages dont il parle. Et c'est aussi une parabole sur le pouvoir, ses relations avec le monde symbolique et ses limites à travers, c'est une constante chez DarioFo, la défense des petits.”
Pierre François
Cette création est prétexte à l’expérimentation d’une connivence, un dialogue intuitif entre deux types de jeu, deux « souffles » très voisins.
Sur un plan théâtral, l’adaptation, la mise en scène et le jeu s'attachent à ne pas oublier les origines : le plein vent, les mystères…la naïveté et la poésie qui s’en dégageaient.
L'accordéon diatonique, dernier maillon des musiques propagées par les musiciens routiniers, apporte une dimension quasi organique au dialogue qui s’instaure entre le comédien et le musicien. La sonorité et le " phrasé " de cet instrument le relient viscéralement à nos racines.
Il nous a semblé passionnant de puiser dans « l'ancestral » de nos pratiques pour atteindre une vraie légèreté, une dimension et une puissance qui serve l'humour d’un texte férocement d’aujourd’hui.
« La véridique histoire de l’Enfant-Jésus de sa naissance à son premier miracle racontée par le pape. Un péplum délirant avec la participation exceptionnelle des Rois Mages, de la Madone, Jésus, Joseph… et Eddy Merckx ! Tout l’humour, la dérision et la poésie de Dario Fo. Un spectacle burlesque à l’inspiration fellinienne ! » Télérama
« Pas très catholique mais sacrément drôle. » Le Progrès
« La madone désabusée, son charpentier de mari au chômage, l'enfant Jésus déculotté, la goutte au nez... c'est succulent. Si l'on ajoute que même Eddy Merckx débarque dans cette histoire de fous, vous avez un petit aperçu de l'univers qui vous attend. Patrick Mons réalise de jolies prouesses et jubile à enchaîner les personnages. Jean-Luc Larive fait danser ses doigts sur les touches de son accordéon. La magie opère et on sort de la salle avec une impression de joie qu'on aimerait ne jamais perdre. » Pariscope, 14 février 2007
D'origine italienne, quel bonheur de retrouver sur une scène la folie et l'intelligence de Dario Fo. Mille bravos. Comme en Italie, Dario Fo on aime ou non et ça se voit dans les critiques. Tant mieux c'est ça la vie belle : le contraste et la différence. Marre des spectacles tous les mêmes. Celui-ci est un hommage au théâtre. Simple et beau! On était plusieurs amies et la salle était autant enthousiasmée que nous. On en reparle encore.
Tout à fait d'accord. A conseiller d'urgence....Spectaclesarcastique grâce aux mots de Dario Fo et aux présences bouleversantres des artistes caméléons! Pour jouer du Dario Fo, il faut y aller à fond, dépasser le unième degrès, et là tout y est! La température chauffe...Bravo aux artistes... Spectacle rare...Merci... à vivre sans modératoin...
J'ai vu ce spectacle fin décembre. Je ne savais pas qu'il continuait en 2007. J'y retourne avec des amis. Un spectacle très drôle, sensible et intelligent. C'est bourré de références et ça reste très accessible, décalé et drôle. Le duo fonctionne super bien dans l'interprétation de cette pléiade de personnages.J'ai particulièrement goûté à la rencontre du pape et d'Eddy Merckx et ses conéquences... hilarant !
D'origine italienne, quel bonheur de retrouver sur une scène la folie et l'intelligence de Dario Fo. Mille bravos. Comme en Italie, Dario Fo on aime ou non et ça se voit dans les critiques. Tant mieux c'est ça la vie belle : le contraste et la différence. Marre des spectacles tous les mêmes. Celui-ci est un hommage au théâtre. Simple et beau! On était plusieurs amies et la salle était autant enthousiasmée que nous. On en reparle encore.
Tout à fait d'accord. A conseiller d'urgence....Spectaclesarcastique grâce aux mots de Dario Fo et aux présences bouleversantres des artistes caméléons! Pour jouer du Dario Fo, il faut y aller à fond, dépasser le unième degrès, et là tout y est! La température chauffe...Bravo aux artistes... Spectacle rare...Merci... à vivre sans modératoin...
J'ai vu ce spectacle fin décembre. Je ne savais pas qu'il continuait en 2007. J'y retourne avec des amis. Un spectacle très drôle, sensible et intelligent. C'est bourré de références et ça reste très accessible, décalé et drôle. Le duo fonctionne super bien dans l'interprétation de cette pléiade de personnages.J'ai particulièrement goûté à la rencontre du pape et d'Eddy Merckx et ses conéquences... hilarant !
53, rue des Saules 75018 Paris