Loulou Djine - Transversal

Sur les routes des Balkans
La presse
Loulou Djine

• Sur les routes des Balkans

Ce combo tzigano-balkanique quadrille les scènes et met le feu dans les cœurs en revisitant les traditions musicales tziganes nourries de jazz, de rythmes et d'harmonies orientales dans une interprétation résolument actuelle. Explorant les thèmes traditionnels du répertoire tzigane des Balkans, la musique de Loulou Djine s’impose comme le fruit d’un métissage avec l’Orient : guitare manouche, violon tzigane classico-traditionnel, percussions orientales, contrebasse “made in Balkans”, accordéon slave, trio à cordes…

La fougue de ces neuf musiciens, rejoints par une danseuse, ne peut qu’entraîner le spectateur dans un kaléidoscope de sons, de rythmes et d’émotions… Leur musique s’enroule en spirale, entre tempos latents et fulgurants, pour nous livrer toute l’âme slave, festive et exaltée…

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• La presse

On a pu apprécier l'enthousiasme et la vitalité de cet ensemble en première partie du Taraf de Haïdouks. Mêlant sonorités orientales et influences des Balkans, Loulou Djine produit une musique tzigane originale, idéale à déguster sur scène." Le Monde

"Porté par la personnalité charismatique de Dragan, son chanteur-violoniste, ce combo allumé, rassemblant des musiciens serbes, croates et bosniaques (soit l'ex-Yougoslavie reconstituée musicalement), a marqué de sa présence festive de nombreuses scènes underground ou à planches découvertes. Fibre tzigane aidant, il ne tombe pas dans la virtuosité gratuite ou facile et parvient à chaque fois à nous faire passer sa bonne humeur. Y aura de la joie !"

"Une bombe… musicale, ce combo tzigano-balkanique qui quadrille les mini-scènes parisiennes et met le feu… dans les cœurs là où il se pose. Aux commandes, Dragan, chanteur-violoniste, un Bosniaque de Sarajevo (et de tempérament !), avec sous ses ordres (enfin…) deux Serbes et une poignée d'autres citoyens aussi allumés que rigoureux, une âme contagieuse sur tempos latents ou fulgurants." Nova Magazine

"Un accordéon (irrésistible), deux guitares, des percussions, et surtout ce violon aux sonorités tziganes en diable, voilà qui donne à la formation Loulou Djine, un authentique parfum d'Europe centrale. Roumanie, Macédoine, Serbie, Bosnie, la musique s'enroule en spirale sur ces terres meurtries qui gardent pourtant au fond du cour une belle exubérance prête à rejaillir à la moindre éclaircie. L'écho des chants slaves n'est pas loin non plus. C'est ce cocktail mystérieux qui fait de Loulou Djine une formation originale, séduisante. Et puisque séduction il y a, n'oublions pas cette jolie dame en noir et aux pieds nus, qui accompagne le groupe. Une bohémienne dont la svelte silhouette pimente la musique déjà très relevée des Loulous Djine." Ouest France

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• Loulou Djine

L’histoire de Loulou Djine commence à Paris en 1994 lorsque Dragan Urlic, fuyant la Yougoslavie en guerre, s’y installe. Le "groupe" ne comprend à ses débuts que deux musiciens. Au hasard des rencontres et au fil du temps, des musiciens se joignent au duo, d’autres en partent, et Loulou Djine commence à tourner dans les cafés-concerts parisiens, puis dans la France entière et les festivals de musique world, traditionnelle et jazz.

Soutenu dès ses débuts par la presse, notamment par le magazine Nova et un de ses fondateurs, Rémy Kolpa Kopoul, Loulou Djine se taille rapidement une solide réputation.

Exploration des thèmes traditionnels et tziganes des Balkans, la musique de Loulou Djine est le fruit d’un métissage : percussions orientales, guitare manouche, violon tzigane classico-traditionnel, contrebasse made in Balkans, accordéon slave, trio à cordes…

Au croisement des répertoires traditionnel, tzigane et des musiques actuelles, les cinq musiciens de Loulou Djine ont su réactualiser lamentos déchirants et tornades balkaniques pour créer un kaléidoscope de sons, de rythmes et d’émotions, le tout assaisonné de compositions originales. Ce jeune groupe a déjà à son actif deux albums : Aldranidjo, autoproduit et distribué par Next Music ; Transversal, le petit dernier, fini d’enregistrer et déjà prêt à sortir.

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