Lulu Borgia

Présentation
L’univers espiègle et subversif d’une chanteuse bourrée d’énergie et de musicalité
La Presse

• Présentation

Après un passage remarqué à l’Européen, Lulu Borgia s’installe au Théâtre des Déchargeurs avec un nouveau spectacle.

Sa présence scénique nous fait voyager dans un univers qui lui appartient, tour à tour tendre, irrévérencieux, noir ou fantastique.

Les musiques qu’elle compose et les paroles taillées au couteau par Jean-Pierre Joblin (dessinateur de BD) fusionnent pour laisser s’envoler un parfum étrange et envoûtant.

Un monde où la chaleur des instruments acoustiques se frotte à la froideur lyrique des arrangements électroniques signés Etienne Gauthier.

Lulu Borgia nous convie à un carnaval des sens du meilleur effet. L’amour y est à la fois sujet, verbe et complément, alors évidemment, ça déchaîne les passions…

…Ses compositions mélodiques, simples, évidentes… Des textes délirants, déchirants, tendres, impertinents… Ses arrangements surprenants : alchimie détonnante où fusionnent électronique et accoustique… Une voix sensuelle et puissante… Une interprétation audacieuse, brillante, tendre et ludique… Des chansons à déguster, pour y puiser miel… et venin !

Attachez vos ceintures, la Borgia est aux commandes !

Lulu Borgia est accompagnée par :

Etienne Gauthier : claviers, programmations, derbouka, choeurs
Patrick Jean-Joachim : guitare, choeurs
Bruno Giglio : violons, choeurs

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• L’univers espiègle et subversif d’une chanteuse bourrée d’énergie et de musicalité

Côté Lulu, elle danse avec des souvenirs d’enfance ; côté Borgia, elle cultive d’envoûtantes fleurs du mal. Ses musiques enjouées, obsédantes soulignent la chaleur de sa voix et la subversion espiègle, et raffinée, des textes de Jean-Pierre Joblin. Provocatrice sans agressivité, telle est la Borgia.

Lulu tient sans doute son mélange original de bon sens et de neurones vagabonds de ses grands-mères du Sud-ouest et du Pays basque qui l’ont nourrie d’anecdotes et de refrains populaires. Solitaire et secrète, elle s’éprend alors de la nature, des histoires fantastiques et de la musique. Bercée par les vigoureuses vibrations des polyphonies basques et par l’allègre et profonde suavité de Mozart, cette instinctive sait que la musique, d’une manière ou d’une autre, sera son métier.

A sept ans, avec un goût certain pour «ce qui ne se fait pas », elle veut jouer de la batterie. Comme au Conservatoire «ce n’est pas un truc de fille», elle choisit le violon. Dix ans après, la discipline aura raison de son plaisir, elle range l’instrument pour toujours. Comme toutes ses décisions, celle-ci, radicale, suit une longue maturation : lorsqu’elle quitte pour la chanson le groupe de rock où elle joue de la basse, elle connaît déjà depuis deux ans l’auteur de BD Jean-Pierre Joblin. Elle lui demande de lui faire lire les paroles qu’il garde secrètement dans un cahier. Etonnés par les similitudes de leurs univers respectifs, ils ne tardent pas à créer les premières chansons.

Dès lors, avec un formidable amour de la scène, elle franchit sans heurts les étapes (scènes, festivals, disques, clip), comprend que l’énergie n’est pas une question de décibels, met des violons dans son rock et des nuances dans sa voix. Elle écoute Barbara, Ferré, la pop anglaise (Cure, Coldplay…), Kurt Weil et les musiques de films. Cette passionnée de peinture et de cinéma, qui a parcouru l’Inde, voyage aujourd’hui dans la chanson et la musique sans à priori.

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• La Presse

" Aussi facétieuse que son nom le suppose, Lulu est une bombe. " Valérie Lehoux - Télérama

" Lulu Borgia : variété de l’inspiration des rythmes, du style et des thèmes : le constat est trop rare pour ne pas être applaudi. " Jean-François Kahn - Marianne

" Lulu Borgia, cette amoureuse de Paris, compose ses mélodies vénéneuses et raffinées sur des textes de l’auteur de bandes dessinées Jean-Pierre Joblin. Une voix sensuelle tout en arabesques dessinent un monde séduisant … " Yves Jaegle - Le Parisien

" Non, ce n’ai pas une empoisonneuse, mais Lulu BORGIA manie la provoc’ avec un plaisir évident… Voilà pour le mode d’emploi, il suffit dès lors de se laisser porter par un propos volontiers irrespectueux mais terriblement tonique, et donc nécessaire. " Francis Chenot - Une Autre Chanson (Belgique)

" Lulu Borgia : tout d'une grande... à la fois déchirante et délirante. Forcément un spectacle original, à découvrir sans modération. " Michel Troadec - Ouest France

" Lulu Borgia cultive, et assume, le paradoxe d’un pseudonyme lourd de réminiscences et la rassurante justesse d’un timbre de voix, charmeur et diablement féminin, qui a tout pour vous faire dresser une oreille intéressée dès la première écoute. " Woxx (Luxembourg)

" Lulu Borgia, une tueuse comme son nom de guerre l'indique. Tueuse de morosité, tueuse d'apathie, tueuse de conventions. " Hervé Pons -  Sud Ouest

" Envoûtante Lulu Borgia. Lulu BORGIA ne passe pas par quatre chemins pour vous mettre une salle sans dessus dessous...elle s’impose comme une interprète talentueuse et convaincante. " Ska -  Le Progrès

" Poil à gratter original, loin des dogmes des moralistes. Et ça fait du bien. " Chorus

" Une énergie explosive qu'elle exploite à fond la caisse. Elle est de ces chanteuses qu'il faut voir autant qu'entendre. " RV- La Meuse

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