Ma Cantate à Barbara

• Un hommage flamboyant à Barbara

Il était une fois une fée, une voyageuse, une reine de Saba, un oiseau de nuit... Barbara. Un piano, des bagages et une valse pour tout décor.

Après Le Lucernaire, le Festival d'Avignon et plusieurs mois de succès au Petit Théâtre des Variétés, Anne Peko, subtile et flamboyante, de sa voix troublante et d'une sensualité raffinée, nous entraîne dans un magnifique voyage théâtral et musical au pays de la grande Dame brune, avec la complicité de musiciens vibrants et passionnés. Un hommage d'une infinie délicatesse, personnel et lumineux. Par des chemins buissonniers, la chanteuse, se réapproprie les personnages sortis de la plume alerte de la Dame brune et nous touche du bout du cœur.

Musiciens en alternance.

• La presse en parle

« Elle évite le piège de l'imitation, apportant une touche personnelle dans son jeu, un timbre de voix sensible et juste rapellant parfois celui de Barbara. L'émotion est là. L'humour aussi. » Nathalie Simon, Le Figaro, 31 mars 2018

« Sublime spectacle ! Somptueux hommage à Barbara... un ravissement du début à la fin... musiciens brillants... un public charmé ! » La Parisienne life

« Entourée de deux jeunes musiciens formidables (...) d'une belle expressivité et d'une grande finesse, Anne Peko comme une confession au public, chante ou parle les mots des chansons parmi les plus célébres mais également d'autres moins connues. » Nicolas Arnstam, Froggy's delight

« Un magnifique hommage par une interprète hors du commun. » TheatreOnline

« Un émouvant voyage… Véritable hymne à l'amour. » La Marseillaise

« Bravo pour votre immense talent, belle voix et sublime projection des textes. » Eric-Emmanuel Schmitt

« La fougueuse interprète chante avec foi et conviction Barbara. » Télérama

« Véritable perle ! Sublime ! La salle conquise par cette femme à la voix enivrante. » Gazette du Festival d'Avignon

« Spectacle exceptionnel ! » Ouest France

« Une voix superbe, une sensualité raffinée, une flamboyance slave… » Madame Figaro

« La Peko a donné toute l’intensité aux quelque vingt chansons cultes que chacun fredonne encore. » Le Télégramme