Acte 1. Japon, début du XXème siècle. Sur une terrasse fleurie qui surplombe le port de Nagasaki, le Lieutenant de la Marine américaine, Pinkerton, visite une maison que le marieur Goro doit lui louer. Ce dernier lui a également procuré 3 servantes et une geisha, Cio-Cio-San, connue sous le nom de Madama Butterfly. Arrive Sharpless, consul américain, à qui Pinkerton décrit sa philosophie de la vie : voyager à travers le monde à la recherche du plaisir.
Charmé par Cio-Cio-San, il s’apprête à l’épouser. Lorsque Sharpless le prévient que la jeune femme ne prendra pas ces vœux à la légère, Pinkerton lui explique qu’il compte pourtant bien sur un "vrai" mariage avec une Américaine. Son contrat de mariage de 999 ans contient une option de renouvellement mensuel… On entend Cio-Cio-San approcher en chantant joyeusement. Elle arrive avec des amis et raconte à Pinkerton comment elle a dû devenir geisha lorsque sa famille a rencontré des difficultés financières. Ses proches expriment bruyamment leur opinion sur ce mariage. Lors d’un moment de tranquillité, Cio-Cio-San montre au marié ses quelques possessions et lui dit son intention de se convertir au christianisme. Le mariage est célébré, jusqu’à l’arrivée de l’oncle de Cio-Cio-San, prêtre bouddhiste, qui lui reproche d’avoir renoncé à sa religion. Sa famille décide alors de la renier. Furieux, Pinkerton renvoie les invités, puis sèche les larmes de sa femme au clair de lune. Les mariés chantent leur amour et se promettent fidélité.
Acte 2. Trois ans plus tard, Cio-Cio-San attend toujours le retour de son époux. Suzuki implore les dieux, tandis que sa maîtresse a les yeux rivés sur le port. Lorsque Suzuki lui montre le peu d’argent qui leur reste, Cio-Cio-San lui dit de garder espoir : Pinkerton reviendra...
Livret de Giuseppe Giacosa et Luigi Illica d’après le drame de David Belasco (1900).
Dans le monde des compagnies d’opéras itinérantes de qualité, The London City Opera s’est rapidement imposé comme l’une des meilleures en Grande-Bretagne, en Europe et en Amérique du nord. Avec ses productions d’opéras “favoris du public” tels que La Bohème, Madama Butterfly, Die Fledermaus, HMS Pinafore, The Mikado, La Traviata et Tosca, the London City Opera a un immense succès auprès du public et des critiques, captivés.
Ces dernières années, la compagnie a non seulement été largement invitée dans les plus grands théâtres et festivals anglais, mais ses tournées à l’international ont pris une grande ampleur. Grâce à la qualité de ses productions, le London City Opera a su se faire un nom sur le plan international.
A Noël, la compagnie présente une série d’opérettes aux St. David's Hall de Cardiff et Fairfield Hall de Londres. Ils ont également élaboré des galas de charité auxquels des membres de la famille royale anglaise ont assisté.
En mars 1998, la compagnie a fait ses débuts européens lors d’une grande tournée de La Bohème & Madama Butterfly en France et en Suisse. Sa première tournée en Amérique du nord, avec Die Fledermaus, en janvier 1999, a ravi le public de 28 villes. Elle y est retournée avec La Flûte Enchantée, en 2000, pour une tournée de 36 villes, puis en 2001, avec Carmen, dans 65 villes ! Le prestigieux magazine Opera Now lui a dédié un long article.
La saison dernière, The London City Opera, avec son nouveau directeur artistique, est retourné présenter dans 70 villes américaines sa pétillante production de La Veuve Joyeuse de Lehàr. En 2003, le public américain a pu applaudir Madama Butterfly de Puccini.
En plus de ses tournées à guichet fermé aux Etats-Unis, le London City Opera continue de se produire au Royaume-Uni, en Europe et, depuis peu, en Asie.
La vocation de la compagnie est de présenter en tournée des opéras et opérettes du plus haut niveau sur le plan vocal et musical, et de trouver ainsi au nouveau public comme aux aficionados que l’opéra est un divertissement - du rire aux larmes.
88, rue Saint-Denis 92700 Colombes
En voiture : tout droit depuis la porte de Champerret par le pont de Courbevoie. A La Garenne-Colombes, au rond-point, prendre la 1ère sortie et continuer sur : D106 / Avenue Du Général De Gaulle. En entrant dans Colombes prendre : D13 / Place Du Général Leclerc puis le bd De Valmy.
Parking de l'Hôtel de ville : 5 rue Verdun (se munir de monnaie).