En 1972, un jeune chanteur sortait son premier album Mon frère et faisait la première partie de Georges Brassens à Bobino. En 1979, Maxime Le Forestier, dont la carrière est déjà bien lancée, sort un 33 tours de reprises de Brassens.
Il récidive en 1996 avec des inédits, pour aboutir à un projet qu’il commence en 1998 avec Le Cahier et termine en 2005 avec le 2e Cahier, soit l’enregistrement de l’intégralité de l’oeuvre du poète sétois. L’auteur de la Maison bleue se fait tout petit devant Brassens qui « a su ramener la condition humaine à de petites pièces de théâtre, des saynètes, des personnages… En somme il a su parler à l’intention de tous. Cela, c’est de la magie, et à partir de là tout est possible ».
Quand Maxime Le Forestier entre en scène, avec pour tout bagage sa voix chaude, sa guitare et les textes du maître, la magie opère…
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