Mayday mayday

Alerte, alerte : un corps à la dérive. Il tombe, se relève, trébuche. Puis, il se fixe, commence à prendre possession des éléments qui le composent, de l’espace qui l’entoure. Il ressent comme une jouissance enfantine, sans censure, dévorante… mais qui finit par l’engloutir.

Dans Ridi ! Pagliaccio !, première partie du diptyque Mayday Mayday, Philippe Ménard tire la sonnette d’alarme. Il devient urgent de se réapproprier sa propre chair. La seconde partie, I wanna dance all night, marque cet acte de résistance.