A travers tout le pays, Alex donne des conférences pour vanter les bienfaits de la méthode du Dr. Bromsky. Alors qu’il était un adolescent ultra violent, c’est grâce à cette cure expérimentale qu’il a réussi à réintégrer la société. Mais désormais, sa mécanique interne déraille…
La compagnie Anima Théâtre aborde l’agressivité sous l’angle d’un destin personnel (adapté d’Orange mécanique et mis en perspective avec finesse) pour interroger la radicalisation des valeurs dans la société. Le sujet, brûlant d’actualité, se développe en filigrane (la violence n’est que suggérée) au travers de marionnettes, ombres, projections, et le jeu très incarné du comédien Stéphane Miquel dans une mise en scène inventive de Georgios Karakantzas. Un remarquable travail. A partir de 13 ans.
A travers tout le pays, Alex donne des conférences pour vanter les bienfaits de la méthode du Dr. Bromsky. Alors qu’il était un adolescent ultra violent, c’est grâce à cette cure expérimentale qu’il a réussi à réintégrer la société. Mais désormais, sa mécanique interne déraille…
Librement inspiré de L’orange mécanique, d’Anthony Burgess, ouvrage effroyablement prémonitoire, Mécanique décrit une civilisation dans laquelle les comportements brutaux sont communs, quotidiens. La ville était devenue un terrain de jeux cruels pour Alex, 14 ans, et ses drougs. Passage à l’acte : conduite impulsive, basculement, rupture.
La compagnie Anima Théâtre aborde l’agressivité sous l’angle d’un destin personnel pour interroger la radicalisation des valeurs. Le sujet, brûlant d’actualité, se développe en filigrane au travers des marionnettes, ombres, projections. Autant de moyens de mettre en perspective la violence juvénile et l’oppression étatique pour révéler l’importance du libre arbitre dans ce qui constitue l’Humain.