Monsieur Ibrahim et les Fleurs du Coran

Présentation
Le Théâtre de l'invisible
Un mot de Jacques Gamblin - Comédien
Un mot d'Eric-Emmanuel Schmitt - Auteur
La presse

• Présentation

Paris dans les années 60. Momo a 13 ans, il est livré à lui-même. Il a un ami, un seul, M. Ibrahim, l’épicier arabe de la rue Bleue. L’épicier arabe n’est pas arabe et la rue Bleue n’est pas bleue, mais entre ses conserves, ses fruits et légumes et son sourire malicieux on trouve tout chez M. Ibrahim.

Ce vieux soufi ordinaire et excentrique entraînera Momo jusque sur les routes du Croissant d’or…

Après le Golem et Milarepa le voyage continue… en tapis volant !

Musique originale et chants interprétés sur scène par Aram Kérovpyan.

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En 11 années d'existence la compagnie a produit 10 spectacles, 10 créations, plus de 1000 représentations aussi bien à Paris qu'à travers toute la France mais aussi dans une douzaine de pays étrangers...

Essentiellement des textes contemporains inédits (presque toujours des oeuvres de commande) : Jean Gabriel Nordmann, Eric-Emmanuel Schmitt, Catherine Zambon ; mais aussi des adaptations d'œuvres littéraires : Etty Hillesum, Boulgakov, Vincent Van Gogh ; ou des créations : Le Pépin du Raisin (Cabaret Russe), et Le Golem écrit par Bruno Abraham-Kremer.

La musique est présente dans la plupart de nos productions et fait souvent l'objet de commande originale à un compositeur. C'est le cas par exemple pour la Trilogie de l'Invisible où pour chaque spectacle le compositeur est également l'interprète de sa musique sur scène.

Nos partenaires sont aussi bien des théâtres municipaux, (Théâtre Firmin Gémier à Antony, Théâtre 13, C.I.G de Grasse, l'Avant-Scène à Cognac) que des structures plus importantes ( Les Gémeaux / Scène Nationale de Sceaux, Le Festival d'Avignon, Le Théâtre Vidy-Lausanne en Suisse, Le Théatre - Scène Nationale de Narbonne, La Chartreuse de Villeneuve-les-Avignon).

A Paris nos spectacles ont été accueillis aussi bien dans des lieux du théâtre public (Théâtre de la Tempête, Théâtre 13, Théâtre du Renard) que dans des théâtres privés (Théâtre Montparnasse, Studio des Champs-Elysées, Café concert Ailleurs).

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Il a co-produit Monsieur Ibrahim avec le Théâtre de l'Invisible.

Le petit commerce me tient à cœur...

Mon père était quincaillier normand. Le grand-père de Bruno Abraham-Kremer était épicier arabe. Que ce soit les clous et les vis ou les fruits et légumes, ça s'appelle le stock... Le stock de ceux qui nous ont fabriqués est devenu le nôtre. Il faut s'en servir, en faire le réassort, et ne pas le gâcher.

C'est du boulot tout ça !

Quand mon père parlait boutique, je ne comprenais jamais s'il était propriétaire des murs ou bien du fond ou seulement du pas de porte. Monsieur Ibrahim, lui, n'est propriétaire de rien du tout, mais son stock est un sacré bel héritage, et il y a du fond dans son histoire de murs.

Je le sais parce que je suis entré un soir dans sa boutique, comme un client anonyme. C'est facile, il n'y a même pas de porte. Pas besoin, il est toujours ouvert... J'y ai trouvé tout ce qu'il me faut et j'ai eu envie d'y rester.

Jacques Gamblin

Il a écrit Milarepa et Monsieur Ibrahim pour le Théâtre de l'Invisible.

Dire que le théâtre a un rapport avec le sacré, c'est enfoncer une porte ouverte. Mais c'est une bonne porte, et une porte qui n'est pas si emprunté qu'on le croit.

J'ai rencontré Bruno Abraham-Kremer lorsqu'il faisait un spectacle sur le Golem. Avec la seule force de son jeu et de notre imagination, il arrivait à faire vivre cette légende juive. J'ai immédiatement aimé l'élégante économie de moyens, la versatilité du jeu, l'humanité profonde du personnage. Nous nous sommes rencontrés.

Pour lui, parce que nos chemins se croisaient sur les montagnes imaginaires du Tibet, j'ai écrit Milarepa, l'Homme de coton, une évocation actuelle du grand sage bouddhiste du XIème siècle.

De là est née l'idée d'un cycle consacré à l'Invisible, à la spiritualité, la vraie, celle qui nous permet de vivre, qui nous tient le dos plus droit qu'une colonne vertébrale, aux spiritualités de cultures différentes qui ont quelque chose à nous dire. Aujourd'hui le voyage continue avec le mouvement Soufi, une des formes mystique, poétique et antilégaliste de l'lslam. Il mène au Croissant d'Or et il a emprunté un tapis volant...

Eric-Emmanuel Schmitt

" On est ému plus qu’on ne voudrait… Bouleversé. " Le Figaro, F Ferney

" L’histoire est belle et généreuse. " Télérama, F Pascaud

" On rit, on pleure c’est prodigieux. " Paris Match,- H.Kutner

" Un récit savoureux, drôle, émouvant… joué par un acteur remarquable " Le Parisien, A.Lafargue

" Bruno Abraham-Kremer nous chope à la gorge avec ce trop plein d’amour. Un hymne à la vie…… nous donne vraiment envie d’être heureux " Pariscope, M.C Nivière

" Avec une bonhomie souriante et grave, l’acteur nous conduit au-delà des apparences. " Zurban, Corinne Denailles 

" … formidable, on ne peut qu’aimer ce comédien qui joue avec un charme et une malice absolue... " France Inter , Odile Quirot

" Un voyage initiatique. Bruno Abraham-Kremer est d’une incroyable présence… On est conquis ! " V.S.D, Arthur Georges

" Magnifique de tendresse et d’émotion. On sort heureux. " Figaroscope, JL Jeener

" La gravité et la fantaisie s’enlacent, le rire et les larmes se mêlent… on est transpercé. un grand acteur d'une humanité rayonnante. " Le Figaro, Armelle Heliliot

" Un très beau texte de Schmitt… admirablement interprété par Bruno Abraham-Kremer... " France Inter, Jacques Nerson

" On suit l’histoire avec l’envie que ça ne finisse pas. Un régal. " Figaro Madame, M. Thébaud

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