Tout est prétexte au divertissement : l’intrigue, la musique, les ballets etc… D’ailleurs ne dit-on pas dans la pièce : « Ne songeons qu’à nous réjouir, la grande affaire est le plaisir !
Tout est prétexte au divertissement : l’intrigue, la musique, les ballets etc… D’ailleurs ne dit-on pas dans la pièce : « Ne songeons qu’à nous réjouir, la grande affaire est le plaisir ! » d’expérience, c’est Molière revenant à ses origines farcesques, et c’est Molière tout entier.
Oronte veut marier sa fille Julie à Monsieur de Pourceaugnac, un gentilhomme limousin, et l’a invité à Paris. Afin de détourner la résolution de son père, Julie accompagnée d’Eraste son amant, espèrent décider ce fâcheux provincial à vite reprendre le coche pour sa bonne ville de Limoges et éviter ce mariage mal assorti. Ils comptent sur le génial Sbrigani et l’intrigante Nérine, « princes de l’astuce et seigneurs de la canaillerie » (Jacques Copeau) qui, du reste, ne les décevront pas.