« Tout mon malheur est qu'à aucun moment je n'ai pu perdre mes facultés de contrôle et de critique »
Pour Claudel, Judas est un pragmatique. Aucune transcendance dans ce personnage. Il a vécu l'aventure du Christ marchant sur la terre à l'aune de ce que, lui, Judas, est resté : un boutiquier, un petit bourgeois, un VRP de la religiosité enraciné dans la matérialité !
« J’ai mordu à l’hameçon »
80 ans après sa publication, 35 ans après sa création, cette oeuvre nous parle toujours de la misère morale d'une humanité sans autre projet que l'enrichissement matériel.
Ce texte pourra aussi faire découvrir à un public qui pourrait avoir une vision un peu arrêtée de l’oeuvre de Paul Claudel, la facette humoristique de celle-ci, un humour grinçant... comme une corde...
Une très belle représentation, en tant que lycéenne, j'ai pu comprendre Claudel. On ne s'ennuie pas du tout.
Une belle interprétation vivante, sportive, expressive...une mise en scène adaptée sobre et efficace...on ne voit pas le temps passer, bravo au comédien : jeu , diction, rythme...tout y est pour apprécier du Claudel.
Pour 1 Notes
Une très belle représentation, en tant que lycéenne, j'ai pu comprendre Claudel. On ne s'ennuie pas du tout.
Une belle interprétation vivante, sportive, expressive...une mise en scène adaptée sobre et efficace...on ne voit pas le temps passer, bravo au comédien : jeu , diction, rythme...tout y est pour apprécier du Claudel.
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