Le Quatuor Barcarolle est invité à jouer La Chasse de Wolfgang Amadeus Mozart pour un concert privé. A l'heure de la répétition, il s'avère que le lieu difficile à trouver n'est pas approprié : problèmes d'acoustique, agitations, suceptibilités, crises soudaines révèleront la vérité de chacun, voire même l'escroquerie générale de l'entreprise. Néanmoins, l'art et la musique étant les plus forts, le concert aura lieu.
La pièce met en évidence la nature humaine dans sa profonde fragilité, quand elle s’attaque à la réalisation d’un objet artistique, ici l’exécution d’une oeuvre musicale, La Chasse de Mozart. Par le rire, la psychologie complexe des personnages révèle des êtres proches, sensibles, émouvants, inquiets, plongés dans les affres sans nombre d’une quête quasi impossible et burlesque, d’être bons et prêts à temps pour plaire à un public donné, tout en restant fidèles au compositeur.
Le choix de dramatiser crises, péripéties et contretemps, amusera le spectateur, tout en le préparant au concert qui va suivre. Une manière de susciter son impatience avant de lui faire entendre enfin cette Chasse de Mozart pour laquelle on fait tant de bruit. L’écoute de cette musique dite « sérieuse », se fait alors au plus près, avec d’autant plus d’envie, de plaisir et d’admiration que la comédie en a auparavant exposé les arcanes et les chausse-trappes.
Musique : Quatuor à cordes n° 17 en si bémol majeur k. 458 La chasse de W.A. Mozart
Musiques additionnelles : Christophe Bruckert et Paul Rouger
" Ils sont tous les quatre drôles, émouvants et pleins de talent ... " Val Magazine
" Le public conquis dès la première minute, assiste à cette joyeuse et émouvante pagaille. " Le Petit Journal du Lot
" Le miracle de ce spectacle ? Offrir deux moments de grâce ; l'un théâtral et farcesque, l'autre musical. Les quatre membres du ficitif quatuor Barcarolle, musiciens professionnels dont le talent d'interprètes, qui s'épanouit au moment du concert, n'a d'égal que leur virtuosité d'acteurs. " Le litteraire.com
" Ils ont réussi là où personne ne les attendait grâce au bouche-à-oreille ... " Figaroscope
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