Prix Félix Leclerc aux Francofolies de Montréal, Coup de Cœur Charles Cros en 2005, Prix du Jury au festival Alors Chante de Montauban, Prix chanson des découvertes du Printemps de Bourges, 5 passages aux Francofolies de La Rochelle. Des premières parties : Sanseverino, Bénabar, Miossec, Paris Combo, Jacques Higelin, Thomas Fersen, Rachid Taha, Les Wampas, Dominique A, Maxime Le Forestier, Têtes Raides, Arno, Jean-Louis Aubert…
Et pendant qu’il était sur les routes, Nicolas Jules cachait des chansons inédites dans ses poches. Un jour, dans un bistrot de Tours, il a une idée géniale, enfin bon, il a une idée : faire un nouveau spectacle avec ses musiciens préférés.
Pour commencer, son batteur préféré du monde s’appelle Roland Bourbon et il habite en Gironde. Ils se rencontrent, le courant passe, c’est du 220 volts. Et comme ça sonne génial, enfin bon, comme ça sonne, tout devient évident, l’orchestre est au complet, un duo.
Comédien, chanteur, Nicolas Jules oscille entre burlesque, poésie, cris et douceur. Une présence scénique inhabituelle, les pieds qui martèlent le sol et les mains caressantes sur une vieille Gibson électrique. Roland Bourbon le suit comme un danseur, comme un boucher, ça dépend. Le même instinct. Et toujours cette façon si particulière d’interpeller le public. On ne sait plus si c’est de la chanson rock, blues, jazz, ou du théâtre. A vrai dire on s’en fout. C’est tout simplement génial, enfin bon, c’est tout simplement...
2 bis, Passage La Ruelle 75018 Paris