Un programme où l’émotion va crescendo : une sublime aria de Bach, la rare Symphonie au Saint-Sépulcre de Vivaldi, puis, au sommet, le Stabat Mater de Pergolèse.
Un programme où l’émotion va crescendo : une sublime aria de Bach, la rare Symphonie au Saint-Sépulcre de Vivaldi, puis, au sommet, le Stabat Mater de Pergolèse. À la question « pourquoi cette œuvre ? », Bernard Thomas répond avec simplicité : « parce qu’elle est belle, parce qu’elle me touche au cœur ».
Pergolèse a vingt-six ans. Il compose son Stabat Mater sur un texte sacré du XIIIe siècle. À l’agonie, il nous lègue une œuvre forte, poignante, lumineuse, intime, pour deux solistes et un orchestre à cordes.
Chef d’œuvre pour l’éternité, son Stabat Mater suscite l’admiration de musiciens aussi différents que Bach et Bellini ; le philosophe Jean-Jacques Rousseau écrit au sujet du premier duo : « le plus parfait, le plus émouvant qui soit jamais sorti de sous la plume d’un musicien ».
Samedi 22 juin 2024, venez partager cette merveille de profondeur, beauté et émotion, en l’église Saint-Roch, Paris !
296 rue Saint-Honoré 75001 Paris