Ce sont bien souvent des histoires locales qui inspirent les compositeurs. Celle, par exemple, du village de Galánta où Zoltan Kodály vécut. Devenu adulte, il se souvient des timbres et des danses des orchestres tziganes de son enfance.
Le succès du Premier Concerto pour piano de Liszt, si proche du poème symphonique, ne s’est jamais démenti. Quant à la Musique pour cordes, percussions et célesta de Bartók, la partition pressent, en 1936, le cataclysme d’un monde bientôt en guerre. Un chef-d’œuvre bouleversant.
Kodály : Danses de Galánta
Liszt : Concerto pour piano n° 1 S. 124
Bartók : Musique pour cordes, percussion et célesta
A 19h, l’Entrée en musique et ses invités
Entrée libre à partir de 18h45 sur présentation du billet du concert de 20h.
15, avenue Montaigne 75008 Paris