Quand les trains passent est le récit de la destruction d’une vie. Sous une forme très simple et très directe, Quand les trains passent porte une réflexion étonnante sur le pouvoir et la sexualité, mais aussi sur la culpabilité, le soutien et le partage dans le couple. A quel moment précis la sexualité devient-elle une arme redoutable que l'on utilise les uns contre les autres, les unes contre les autres ? Quand notre soif d'amour et d'estime devient-elle monstrueuse ?
Traduction du suédois de Jacques Robnard. Par la Compagnie La Métonymie avec le soutien de Colombine Theater.
Quel est cet homme au fond de la scène dans la cuisine ? Quelle culpabilité ronge la femme devant la scène ? Les trains passent et ne s'arrêtent pas. A prendre. Cet homme comprend très bien cette femme. Cette femme comprend-elle cet homme ? Une histoire de lycée reste là, constituante ou destructurante. Ce spectacle m'a saisie à travers cette histoire - annodine aux premiers abords - une blague d'adolescents. Le jeu des acteurs, l'homme et la femme très différents, la mise en scène, le son participent à construire un très beau spectacle. Ne restez pas sur les pelouses de la Cartoucherie, venez au théâtre. C'est bien, très bien.
Quel est cet homme au fond de la scène dans la cuisine ? Quelle culpabilité ronge la femme devant la scène ? Les trains passent et ne s'arrêtent pas. A prendre. Cet homme comprend très bien cette femme. Cette femme comprend-elle cet homme ? Une histoire de lycée reste là, constituante ou destructurante. Ce spectacle m'a saisie à travers cette histoire - annodine aux premiers abords - une blague d'adolescents. Le jeu des acteurs, l'homme et la femme très différents, la mise en scène, le son participent à construire un très beau spectacle. Ne restez pas sur les pelouses de la Cartoucherie, venez au théâtre. C'est bien, très bien.
Cartoucherie - Route du Champ de Manœuvre 75012 Paris