Sur fond de tapis d’orient, deux musiciens, un peintre, la présence et le chant puissant d’Abdelwaheb Sefsaf font écho aux écrits de Mahmoud Darwich.
La poésie, une peinture en train de se faire, une voix et la musique d’inspiration orientale se mêlent pour chanter la beauté du monde.
La parole de Mahmoud Darwich se déploie en mots et en peinture pour raconter la Palestine, son histoire, sa lumière et ses hommes.
Ici, il ne s’agit pas de prendre une position politique sur un conflit, mais de marcher dans les pas d’un poète qui a continué, malgré le désespoir, à chérir la terre, sa beauté et par-dessus tout, à évoquer l’amour.
Le metteur en scène Claude Brozzoni met en lumière et en musique cette langue qui chante l’amour, la fraternité et la joie.
94, rue Jean-Pierre Timbaud 75011 Paris