Sur une musique oscillant entre orient, rock et électro, le majesteux et charismatique Abdelwaheb Sefsaf chante, dit, déclame les poèmes de Mahmoud Darwich, en français mais en arabe aussi. En toile de fond, un tableau immense, splendide, est peint sous nos yeux au fil du spectacle. Il entre en résonnance et fait écho à la beauté de la langue de Darwich.
Un cabaret du plaisir où l’on chante la fraternité, la joie, la douleur, la beauté du monde... Un véritable bijou de subtilité et de finesse qui vous touchera en plein coeur.
« Le choix du poète Palestinien Darwich n’est pas fait pour prendre une position politique sur un conflit qui hante les jours et les nuits de la planète, mais parce que la maladie de la Palestine est le symbole d’un mal universel. Choisir Darwich, c’est donner voix à un poète qui a continué, malgré l’horreur et le désespoir, de chanter la terre, sa beauté et par-dessus tout à évoquer l’amour. Cette voix ne se complait ni dans le cynisme, ni la morosité, ni la détresse. Elle dit surtout l’espoir de tous et de chacun. »
Claude Brozzoni
« Un subtil tissage entre la parole, le chant, la musique et l’image pour dire l’exil, la souffrance, la colère et l’amour, toute la poésie de Mahmoud Darwich. Un spectacle tenu, rythmé dans son déroulement avec finesse et intelligence. » Frictions-la revue en ligne
« Ce spectacle musical et graphique est un ravissement pour la vue, l’ouïe, mais avant tout pour le coeur. Les mots de Mahmoud Darwich ont inspiré à Claude Brozzini une petite forme généreuse, magique et proprement jubilatoire. D’une grande authenticité et sobriété, ce spectacle touche tous les sens. » Le JDD
21, avenue Louis Georgeon 94230 Cachan