Le Mozart espiègle de la Sonate « Alla turca » mais également celui des grandes pages tragiques comme la Sonate en do mineur ou la méconnue Fantaisie en fa mineur, le Haydn malicieux du Capriccio en do majeur mais aussi le Haydn le plus profond – celui des Variations en fa mineur – qui déjà regarde vers le romantisme, avec pour commencer Carl Philip Emmanuel Bach dont Mozart disait : « Il est le père, nous sommes des enfants ».
Le disciple d’Alfred Brendel, prodige absolu du piano, fait revivre pour nous trois des plus grands compositeurs de leur temps dans un fascinant jeu de miroirs.
C.P.E. Bach : Freie Fantaisie Wq 67
Mozart : Fantaisie K. 608
Sonate n° 14 K. 457
Haydn : Capriccio Hob. XVII :4
Variations Hob. XVII :6
Mozart : Sonate K. 311 « Alla turca »
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