Romain Didier - Délassé

• Un gentilhomme de la gent chantante

Réfractaire aux leçons de piano, enfant il apprend à jouer seul en reproduisant les chansons qu’il entend à la radio.
Dans les années 70, pour gagner sa vie, il devient pianiste de bar et accompagnateur dans les cabarets et soirées privées où il aborde tous styles de musiques. Les éditions de Gilbert Bécaud, le Rideau Rouge lui proposent de collaborer à la réalisation d’un album de Francis Lemarque. La rencontre est déterminante.

• La presse

“On pourrait dire de lui qu’il est un héritier de la poésie courtoise : il a de ses pairs d’alors l’élégance chevillée au vers, la justesse ajustée à l’image. (…) On l’aime en compagnie, on l’aime seul, la plume sûre, la voix légère, le verbe réjouissant. Le revoir et l’entendre est toujours une fête.” A.-M. P., Télérama

“On retrouve avec gratitude quelques-unes des chansons écrites avec Allain Leprest (notamment le poignant La Retraite), il évacue quelques succès dans un medley bien troussé (Julie la Loire, L’Aéroport de Fiumicino, D’Irlande…), il raconte son enfance avec une belle bénignité (Mon écharpe grise)… Le chanteur trouve de nouvelles couleurs, les chansons sont fortes, la soirée est sereine.” Bertrand Dicale, Le Figaro - Mars 2003