Annette revient assister aux dernières secondes de vie de sa mère et retrouver, par la même occasion, Pauline, sa sœur qu’elle n’a jamais revue depuis son départ de la maison familiale.
On ne choisit pas sa famille, on la subit. Et si l’on ne veut pas la subir, on s’en va. C’est ce qu’Annette a fait un jour : elle a claqué la porte de la demeure familiale et elle est partie vivre sa vie comme elle la voulait, avec les gens qu’elle voulait ; bien ou mal c’était devenu « SA » vie. Mais lorsqu’une mère meurt, il faut bien revenir. Et Annette revient assister aux dernières secondes de vie de sa mère et retrouver, par la même occasion, Pauline, sa sœur qu’elle n’a jamais revue depuis son départ. Difficile de renouer un dialogue dans ces conditions...