Soirées bourgeoises

Paris 19e
du 13 novembre 2003 au 1 avril 2004
60 minutes

Soirées bourgeoises

Une guerre méchante de vérités, d’amour agressif, d’érotisme frustrant, d’humour nerveux et de rires pervers, soutenue par un texte qui trimballe les acteurs d’un bout à l’autre de la comédie… inhumaine. Une femme, un homme, enfermés dans le même grenier. Le drame de l’humanité, quoi… Chacun son lit, chacun sa lampe, chacun son territoire… D’ailleurs une frontière blanche tracée sur le sol empêche toute tentative d’agression… Et pourtant, la guerre éclate !

Résumé
La recette est simple

Une guerre méchante de vérités, d’amour agressif, d’érotisme frustrant, d’humour nerveux et de rires pervers, soutenue par un texte qui trimballe les acteurs d’un bout à l’autre de la comédie… inhumaine.

Une femme, un homme, enfermés dans le même grenier. Le drame de l’humanité, quoi… Chacun son lit, chacun sa lampe, chacun son territoire…
D’ailleurs une frontière blanche tracée sur le sol empêche toute tentative d’agression… Et pourtant, la guerre éclate !

D’ultimatums en tentatives d’invasions, de mots piégés en missiles de méchancetés, d’intimidations en humiliations, la bataille s’engage, le pétage de plombs progresse jusqu'au délire rhétorique ! Nos yeux rieurs assistent enfin à la guerre psychologique que nous attendons tous et que l’on ne peut malheureusement pas faire chez soi (raisons familiales !) : une véritable guerre des sexes !

Une guerre méchante de vérités, d’amour agressif, d’érotisme frustrant, d’humour nerveux et de rires pervers, magnifiquement soutenue par un texte dont la langue merveilleusement vipérine trimballe les acteurs d’un bout à l’autre de la comédie… inhumaine. Ici, même le Théâtre est une arme pour mieux tuer l’autre.

« Les définitions ne m’intéressent pas, mais s’il en faut une, c’est l’humour noir qui définirait le mieux mon attitude vis à vis du théâtre, de la vie, et qui consiste dans une espèce de recul et de dérision que je ressens par rapport à beaucoup de choses. » Guy Foissy

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Enfermez et canalisez deux tempéraments comiques dans un grenier.
Touillez !
Encore !
Saupoudrez de vacheries, d’énergie et d’un peu d’érotisme.
Dès qu’ils refroidissent, épluchez-les pour enlever toute hésitation
Et tous les restes de scrupules.
(un arrière-goût de cours de théâtre peut parfois compliquer la cuisson… enlevez tout !)

Pour bien développer leur arôme de délire, badigeonnez-les de direction d’acteur.
Laissez-les mijoter dans leur jus pendant trois mois ! (ben oui, faut c’qui faut !)
Ajoutez un zeste de mise en scène pour pas qu’ils sautent partout, mais bien là où vous voulez qu’ils sautent…
Expliquez-leur qu’ils font du l’Art sans le savoir et…
Servez-les bien chaud au public !
On se régale…
Faites le modeste et dites : « oh, c’est pas moi, c’est la cuisson ! »

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Spectacle terminé depuis le jeudi 1er avril 2004

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