Sophie Térol / Gérard Morel

• Sophie Térol

« Génial OVNI » de la nouvelle française, Sophie Térol est un petit bout de femme, douce et énergique, digne héritière de Marie-Paul Belle et de Barbara. Mais elle n’emprunte à ses ainées que de rares attitudes, car par son répertoire et son style, Sophie Térol ne ressemble à personne. Pourtant, ses chansons nous sont spontanément familières. Un peu comme si avant même de les avoir entendues, de les découvrir, nous les connaissons déjà…

« L’Univers de cette jeune chanteuse est volcanique, son imagination débridée, ses chansons envoûtantes. Elle accompagne au piano ses textes au rythme nerveux, bâtis sur des sujets toujours cocasses, dans une langue riche et crue.(…) Les chansons de Sophie Térol qui racontent des petites histoires portant une forte charge émotionnelle sont douées d’une formidable énergie. Leur poésie est si particulière et si variée qu’on aurait du mal à définir. Une chose est sure : on a aucune difficulté à s’en délecter ! » Philippe Escalier, Chorus, mars 2004

Chant, piano : Sophie Térol
Accordéon : Michel Glasko

• Gérard Morel et les garçons qui l'accompagnent

Gérard Morel est un authentique menuisier des mots. Les petites chansonnettes de rien du tout, qu’il commence presque en dilettante, ressemblent vite à des pièces de bois amoureusement travaillées. Il jongle avec les mots, il les tord, mais sans jamais leur faire de mal. On pourrait penser à Pierre Perret sans la tristesse ou à Boby Laointe sans l’hystérie musicale. Un look de « tonton paillard » de fin de banquet, calvitie et embonpoint débonnaires, derrière lequel le spectateur découvre, entre deux éclats de rire, un artiste d’une sensibilité déroutante.

Gérard Morel chante les femmes appétissantes et fatales que les hommes, nigauds laborieux, contemplent, convoitent, séduisent parfois, mais dont ils ne se remettent jamais vraiment. Comment allier avalanches d’allitérations, jeux de (gros) mots et parvenir pourtant à dégager du romantisme ? Demandez à Morel. Des chansonnettes du gars Gérard émanent une humanité rigolarde et paillarde, entre Frédéric Dard et Boby Lapointe. Sur scène, Gérard Morel se plante derrière le micro et débite en tranches sa vie d’amoureux épris ou éconduit. Parfois les deux. Les garçons qui l’accompagnent sont aussi impayables que bons musiciens…

Paroles et musiques : Gérard Morel
Arrangements, direction musicale : Christophe Monteil
Accompagnements et chœurs : Les garçons qui l’accompagnent
Claviers, clarinette, percussion : Luc Chareyon
Guitares, banjo, contrebasse : Christophe Monteil
Basse, clarinette, guitare : Hervé Peyrard