Folie et lâcheté pour les uns, force et courage pour les autres, les disparitions volontaires, loin de toute morale, fascinent par leur mystère et parce qu’elles réactivent en nous le fantasme de la liberté absolue, le rêve de pouvoir tout recommencer et d’inverser le cours de la vie. Dès 16 ans.
Un jour « Elle » est sortie prendre l’air, se dégourdir les jambes et puis elle a continué.
Jusqu’au bout de la rue.
Jusqu’à prendre un train.
Jusqu’à abandonner son mari et sa fille.
Comme ça. Sans prévenir.
Pour vivre.
Folie et lâcheté pour les uns, force et courage pour les autres, les disparitions volontaires, loin de toute morale, fascinent par leur mystère et parce qu’elles réactivent en nous le fantasme de la liberté absolue, le rêve de pouvoir tout recommencer et d’inverser le cours de la vie.
En France, 5 000 personnes disparaissent de leur plein gré chaque année. Au Japon, elles sont 100 000. Folie et lâcheté pour les uns, force et courage pour les autres, les disparitions volontaires, loin de toute morale, fascinent par leur mystère et parce qu'elles réactivent en nous le fantasme de la liberté absolue, le rêve de pouvoir tout recommencer et d'inverser le cours de la vie.
S’exprimant sous forme de monologues, les personnages réunis sur scène apportent leur témoignage sur ce qu’ils ont vécu et éprouvé.
« Il m’est impossible de considérer le théâtre autrement que par la réunion de différentes formes et langages artistiques. La pièce s’ouvre sur la projection d’un poème d’Élodie Petit, annonciateur des événements. La musique, omniprésente, renforce le jeu des comédiens et laisse éclater la dimension tragique de la pièce. J’ai souhaité également intégrer des projections vidéos pour multiplier les interprétations. C’est la réunion de tous ces langages, théâtral, poétique, musical et cinématographique qui forment le spectacle lui-même. »
Robert Rizo
Théâtre contemporain bénéficiant d'une mise en scène efficace ,notamment le rideau d'arrière plan(fond de scène) avec le musicien en live ...chaud chaud derrière!J'ai apprécié le jeu de la comédienne et du "passeur" quant au mari, son jeu m'est apparu hésitant, récitatif et du coup rupture de rythme.Ce n'est pas loin s'en faut le théâtre que j'aime (littéraire et classique...mauvaise éducation oblige!) car je ne ressens que peu d'émotion , voir aucune en général car l'humanisme disparait souvent derrière un traitement sans grand esthétisme "intellectuel ".pour en revenir à cette Tangente, la pièce mérite d'être vue malgré son écriture que j'ai trouvé ...enfin bref..Du bon et du moins bon mais à voir pour les comédien(ne)s et la guitare électrisante!
L'existence s'écoule tranquille, rythmée par un quotidien certes sans grande originalité mais ponctuée par les petits bonheurs et, soudain c'est la fuite. Partir, droit devant soi, sans but précis et, surtout, sans se retourner, urgence de retrouver le souffle de l'existence. Les comédiens sont crédibles dans cette disparition non programmée, mais j'avoue avoir été plus particulièrement touchée par l'errance physique et morale de cette femme à la recherche de son identité et par ce "débarrasseur" professionnel presque ange gardien contemporain
Pour 2 Notes
Théâtre contemporain bénéficiant d'une mise en scène efficace ,notamment le rideau d'arrière plan(fond de scène) avec le musicien en live ...chaud chaud derrière!J'ai apprécié le jeu de la comédienne et du "passeur" quant au mari, son jeu m'est apparu hésitant, récitatif et du coup rupture de rythme.Ce n'est pas loin s'en faut le théâtre que j'aime (littéraire et classique...mauvaise éducation oblige!) car je ne ressens que peu d'émotion , voir aucune en général car l'humanisme disparait souvent derrière un traitement sans grand esthétisme "intellectuel ".pour en revenir à cette Tangente, la pièce mérite d'être vue malgré son écriture que j'ai trouvé ...enfin bref..Du bon et du moins bon mais à voir pour les comédien(ne)s et la guitare électrisante!
L'existence s'écoule tranquille, rythmée par un quotidien certes sans grande originalité mais ponctuée par les petits bonheurs et, soudain c'est la fuite. Partir, droit devant soi, sans but précis et, surtout, sans se retourner, urgence de retrouver le souffle de l'existence. Les comédiens sont crédibles dans cette disparition non programmée, mais j'avoue avoir été plus particulièrement touchée par l'errance physique et morale de cette femme à la recherche de son identité et par ce "débarrasseur" professionnel presque ange gardien contemporain
3, rue des Déchargeurs 75001 Paris