The servant

Molière 2015 du Comédien dans un spectacle de Théâtre Privé : Maxime d’Aboville.
Prix Beaumarchais du meilleur spectacle élu par le public.
Prix du syndicat de la critique pour le Théâtre privé.

• Un huis clos passionnant

À Londres, Tony, un jeune aristocrate paresseux emménage dans une confortable maison de ville, il engage Barrett comme domestique. Ce dernier se révèle être un valet modèle, travailleur et intelligent. Une certaine complicité s'établit peu à peu mais rapidement les rôles s'inversent et le maître se retrouve l'esclave de son serviteur.

Un huis clos passionnant, où la lutte des classes mène un combat acharné pour la domination, mélangeant thriller, surréalisme et humour noir, une sorte de barbarie où l'on badine avec la vie.

• La presse

« La mise en scène nerveuse de Thierry Harcourt fait subtilement affleurer et deviner la perversion des relations, les gouffres intérieurs et monter le suspense et l’angoisse. Le texte, limpide, elliptique, laisse la place à ce qui se cache derrière les dialogues. La distribution est parfaitement juste, chaque personnage bien cerné et l’interprétation fine. » Annie Chénieux, le JDD, 21 avril 2015

« Spectacle aussi dérangeant que fascinant, sombre messe noire où l'on sent l'emprise indicible du mal (...) Entouré de comédiens doués qu'il a dirigés avec une rigueur, une réserve qui ne laissent que mieux deviner leurs abîmes - Maxime d'Abioville est exceptionnel de noirceur sophistiquée et incompréhensible. » Fabienne Pascaud, Télérama TT, 4 mars 2015

« C'est surtout un chef-d'oeuvre de manipulation. La mise en scène fine et sensible de Thierry Harcourt (...) C'est un plaisir de découvrir la version théâtrale. » Jacques Vallet, le Canard enchaîné, 4 mars 2015

« Ce thriller psychologique, qui possède cette pointe d'humour si britannique, a pour nerf de guerre l'excellente interprétation des comédiens. » Pariscope, 25 février 2015

« Thierry Harcourt monte The Servant et dirige des comédiens fins et déliés, c'est angoissant et fascinant ! » Figaroscope, 6 février 2015

« Ce parti pris vintage rend immédiatement crédible cette fable « so british » sur la lutte des classes, aux accents fantastiques et sadomasochistes. (...) Cette menace insidieuse, feutrée, puis de plus en plus lourde, plane sur le Théâtre de Poche, grâce au jeu précis et subtil des comédiens. » Philippe Chevilley, Les Echos, 19 février 2015

« Huis clos passionnant au charme vénéneux mêlant le suspens d'un thriller aux typiques attraits de la comédie anglaise, la " tragédie de moeurs " est servie avec superbe. » La Terrasse, 24 février 2015

« La jolie surprise. Grâce à l'interprétation sensible et pointue des comédiens et grâce à la mise en scène sobre et tenue de Thierry Harcourt on s'abandonne à l'opacité des conduites, à l'ambiguïté des êtres et à la perversité des relations maître-valet... » Télérama Sortir TT, 18 février 2015

«Les cinq acteurs sont très bons, ils maîtrisent l'ambiguïté du texte et parviennent à donner de la profondeur et de la légèreté à cette histoire de pouvoir et de trahison. Le spectateur est complètement happé : en somme, voici un spectacle parfait comme on en voit parfois » Sortir à Paris, 13 février 2015

« Joussif ! The Servant de Robin Maugham entraîne le spectateur dans une intrigue au suspense implacable. Sensations fortes garanties ! » La Critiquerie, Wesley Bodin, 9 février 2015

« Thierry Harcourt est parvenu avec une aisance de gentleman à proposer un spectacle alerte, divertissant et surtout jamais « à la manière de ». Une comédie que d'excellents comédiens livrent à des spectateurs fort heureux !  » Froggy's Delight, Philippe Person, février 2015

« Cet affrontement cérébral bénéficie de la mise en scène élégante et haletante de Thierry Harcourt. Dosant savamment thriller, comique british et rythme cinématographique, cette version offre un divertissement tout à fait intrigant et passionnant ! » Hier au théâtre, Thomas Ngo-Hong, 7 février 2014

« Une création qui mérite une salle pleine chaque soir ! » Paris sur scène, François Berry, 8 février 2014

« Une mise en scène discrète, au service du drame génial de Robin Maugham. Une jeune distribution virtuose vient s’épanouir dans ces méandres sombres. Du drôle on vire au glauque, et de la surprise, on vire à la conviction. Tellement qu’à la fin, on en redemande ! » Arkult, Hadrien Volle, 9 février 2015