Deux soli pour partager avec les spectateurs les univers individuels des deux chorégraphes.
Solo de Thomas Lebrun (création 2002)
“D’abord une marquise, masquée d’insouciance, une féminité extravagante ? Puis tout artifice s’efface. Place à ce que je suis. Je préfère peut-être regarder les autres s’embrasser… Je préférerais sûrement être un ange.”
Le personnage bascule entre l’abandon et le soulagement, entre la solitude et la recherche du plaisir.
Solo de Foofwa d’Imobilité (création 1999)
Cette pièce créée avant les premières grandes manifestations des altermondialistes, se retrouve aujourd'hui d'actualité au moment où le statut des intermittents est remis en cause. Avec un sérieux humour, deux avatars-de-scène décrivent et décrient les dangers de la mondialisation néo-libéraliste et de son corollaire, l'uniformisation de la culture.
22, rue du Chevaleret 75013 Paris