José Montalvo, chorégraphe presque inconnu lorsque nous l'avons accueilli avec Paradis il y a deux ans, rafle aujourd'hui la mise, on se l'arrache partout dans le monde.
Il revient pour notre plus grand plaisir à Sartrouville avec une nouvelle version de ce Paradis, qu'il n'a cessé de retoucher, enrichir, alléger, épurer, entraînant le spectateur dans une fantaisie débridée, un grand charivari réglé au millimètre. Corps vivants et images virtuelles, qui est réel, qui est faux ? Qui est hip hop, qui est Afrique, qui est contemporain ? Polyphonie des cultures et des effets spéciaux, le tout galope sur Vivaldi, Couperin, Bal Musette ou DJ Tal. Montalvo s'amuse, entre Tati et Dada, et nous apporte un salutaire brin de poésie et de douce folie dans la morosité ambiante. Un petit coin de paradis dont on repart plus heureux, et auquel il faudra penser à venir avec vos enfants.
La presse
" Quarante-cinq minutes spirituelles, brillantes et sans prétentions. N'en déduisez pas que ce Paradis est artificiel ou superficiel. Il est ingénieux, généreux, irrésistible. " (Le Figaro)
Place Jacques Brel 78505 Sartrouville