Sur le parking du Maximum, la boîte de nuit du coin, une bande de jeunes se rejoint comme tous les samedis. Mais ce soir, " il y en a qui vont y rester " s’écrie l’un d’entre eux. S’enchaîne une série de contretemps, de quiproquos, de ruptures, de drames. Entre rires et larmes, les corps frénétiques s’attirent et se repoussent. La langue de Durringer, violente, acerbe et poétique, rythme ce ballet des corps furieux de vivre. Elle puise son inspiration dans les mots de la rue, les errances individuelles pour nous livrer les chroniques de personnes fragiles, à la marge.
" Jouée tambour battant, le temps passe vite et le rire et l'émotion s'échappent du public avec sincérité. Simplement et sûrement cette pièce urbaine fait parler le bitume avec poésie. " Sophie Puig / France Bleu
15, rue du Retrait 75020 Paris