Son dernier disque, sorti cette année, porté par une intensité spirituelle aux tempi apaisés, est aussi marqué par la thématique de la naissance.
Après avoir remonté le fil de nombreuses formations aux géométries disparates - duo avec piano, quintette, groupe rock, détour expérimental en compagnie du guimbardiste chinois Wang Li ou ensemble traditionnel klezmer -, le clarinettiste Yom, Mitteleuropéen dans l’âme et les origines, fond aujourd’hui le son suave de son instrument dans le creuset d’un duo avec piano et percus.
Son dernier disque (Celebration), sorti cette année, porté par une intensité spirituelle aux tempi apaisés, est aussi marqué par la thématique de la naissance.
« Un disque, c’est rien, une heure de musique, et en même temps on peut imaginer un petit univers, une zone franche où en tant qu’artiste on fait ce que l’on veut, où c’est cool et il n’y a que des ondes positives », expliquait-il à France Inter. Yom fera de la scène de l’Athénée la zone franche d’une riche escapade sonore.
13, boulevard de Strasbourg 75010 Paris