Ménagerie de Verre

• Accueil du public

Un bar avec restauration légère vous accueille à partir de 19h00.
Le retrait des places s'effectue à partir de 20h00.

• Une fabrique expérimentale

La Ménagerie de verre, espace pluridisciplinaire dédié à la création contemporaine, est le lieu de tous les croisements d’expression artistique. Perméable aux influences artistiques les plus variées, la Ménagerie de verre accueille régulièrement les acteurs de la vitalité créatrice contemporaine que sont les chorégraphes, performers, vidéastes, plasticiens…

Parmi les artistes invités à la Ménagerie de verre, citons, entre autres, Claudia Triozi, Alain Buffard, Jérôme Bel, Emmanuelle Huynh, Raimund Hoghe, Rachid Ouramdane, Boris Charmatz ou encore Nadia Lauro, Nicolas Floc’h… Aussi, à travers des événements tels que Les Inaccoutumés, événement chorégraphique biannuel (depuis 1995) et le festival de théâtre contemporain Etrange Cargo (depuis 1997), la Ménagerie de verre est devenue le lieu où se produisent et se découvrent de nouveaux courants artistiques et les langages et esthétiques de demain.

Ainsi, depuis sa création en 1983, la Ménagerie de verre a su faire preuve d’audace afin d’assurer son soutien aux artistes et développer un véritable laboratoire d’expérimentation de la danse et du théâtre contemporain. C’est dans cet esprit qu’elle met son « laboratoire de recherche » à la disposition d’artistes qui pourront élaborer leurs créations in situ. Parallèlement, la Ménagerie de verre laisse une large place à la formation pédagogique par la mise en place d’ateliers quotidiens et de stages en danse contemporaine.

• L’espace

A partir d’une vaste imprimerie de 2000m2, l’architecte Pierre-Louis Faloci réhabilite et traite en volumes clairs baignés de lumière naturelle ce lieu d’exception idéal pour les tournages de films, prises de photos, auditions…

« Un écrin rigide qui n’admet comme douceur que des raies de lumière, filtrées par des verrières. Une esthétique de la souffrance brutale, nue, heureusement tempérée par une jouissance sacerdotale. L’architecture est toute entière dans ce déchirement, dans ce grand écart entre le dépouillement extrême et l’investissement sans retenue ». Pierre-Louis Faloci, architecte