Après des études supérieures en France et un parcours dans diverses compagnies théâtrales, Alain Timar décide de s’installer à Avignon où il fonde le Théâtre des Halles qu’il dirige et anime depuis 1983. Il poursuit conjointement un travail de metteur en scène, de scénographe et de plasticien.
Il a signé plus de 46 mises en scène en France et à l’étranger, ainsi que de nombreuses expositions et installations. Ses créations Le jour où Nina Simone a cessé de chanter de Darina Al Joundi et Mohamed Kacimi et Je veux qu’on me parle d’après des oeuvres de Louis Calaferte sont en tournée nationale et internationale.
Des années d’un parcours singulier, patient et obstiné, balisé à chaque printemps par de nouvelles créations, par la découverte stimulante d’un nouvel écrivain ou la redécouverte d’un auteur de référence.
Si ses mises en scène sont pour le spectateur autant d’invitations aux voyages dans le temps (La grande roue de Vaclav Havel), dans l’histoire tragique et la mémoire douloureuse (O vous, frères humains d’Albert Cohen), dans la réalité sociale et l’exploitation économique (Signes particuliers tiré de La misère du monde de Pierre Bourdieu), dans la misère morale et la solitude (Rencontre de Peter Nadas), elles se présentent également comme des moments intenses et jubilatoires d’interrogation, de réflexion et de remise en cause.
Mariant méthodiquement le conceptuel et le sensuel, le personnel et l’universel, l’introspection intime et la vision politique, celle du citoyen engagé, Alain Timar continue de faire entendre une voix originale et singulière dans la création théâtrale française.
Il a été nommé Chevalier dans l’Ordre National du Mérite (2008), Chevalier dans l’Ordre des Arts et des Lettres (2003) et Pro Cultura Hungarica (1990). En novembre 2014, il est nommé Officier dans l’Ordre des Arts et des Lettres.
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Lavoir Moderne Parisien, Paris
Un texte coup de poing de l’auteure afro-caribéenne Véronique Kanor, l’interprétation magistrale du comédien guyannais Serge Abatucci. Un spectacle fort, dérangeant.
La Scala Paris, Paris
Un texte coup de poing de l’auteure afro-caribéenne Véronique Kanor, l’interprétation magistrale du comédien guyannais Serge Abatucci. Un spectacle fort, dérangeant.
Théâtre de l'Atelier, Paris
Quel est le prix de la liberté ? Liberté sexuelle, amoureuse, politique, sociale ou religieuse... Le Liban contemporain concentré dans l’histoire d’une femme fidèle au rêve persistant d’un père journaliste, écrivain et libre penseur.
Théâtre des Sources, Fontenay-aux-Roses
Au septième étage, dans des bureaux dont il ne reste rien, ni cloisons ni fenêtres, deux individus se plient aux lois de la hiérarchie. Tout autour d’eux est tombé, un tremblement de terre, une catastrophe ou un conflit mondial, peu importe. Un texte et une mise en scène de Pierre Notte.
Vingtième Théâtre, Paris
Au septième étage, dans des bureaux dont il ne reste rien, ni cloisons ni fenêtres, deux individus se plient aux lois de la hiérarchie. Tout autour d’eux est tombé, un tremblement de terre, une catastrophe ou un conflit mondial, peu importe. Un texte et une mise en scène de Pierre Notte.
Théâtre Actuel La Bruyère, Paris
Athénée Théâtre Louis-Jouvet, Paris
Théâtre des Halles, Avignon
Essaïon, Paris
Quel est le prix de la liberté ? Liberté sexuelle, amoureuse, politique, sociale ou religieuse... Le Liban contemporain concentré dans l’histoire d’une femme fidèle au rêve persistant d’un père journaliste, écrivain et libre penseur.
Théâtre des Halles, Avignon