Thomas Lebrun propose une pièce inspirée par sa rencontre avec les Muxes, né·e·s hommes mais se vivent femmes. Elles se réapproprient des marqueurs de genre féminin comme les fleurs et les tenues bigarrées.

Mille et une danses en un spectacle qui nous parle de l’importance de danser, de nous toucher, nous étreindre, de transmettre par nos corps tout ce qui nous anime. Revivre.

Happy Manif (les pieds parallèles) est une déambulation chorégraphique enchantée propice à la bonne humeur générale, un jeu de rôle grandeur nature. À partir de 8 ans.

Gilles Verièpe, en résidence au théâtre, présentera trois spectacles cette saison. Le premier, Les éternels, pièce pour six danseurs et une comédienne, fait suite à une première collaboration avec l’écrivaine Ingrid Thobois. Les deux auteurs mêlent à nouveau leurs écritures, littéraire et chorégraphique, et nous projettent dans le troisième millénaire au cœur du transhumanisme.

She was dancing est la rencontre de La Mère d’Isadora Duncan (1921) et du portrait qu’a fait Gertrude Stein de la chorégraphe dans un texte de 1912. Valeria Giuga transpose cette rencontre en un jeu de par-cœur du poème et de la danse mêlés. Le morcellement et les altérations originels de la danse duncanienne laissent ici la place à une nouvelle gestuelle radicalement épurée.

Une version inédite et originale de la Traviata de Verdi, opéra-ballet en 3 actes avec plus de 60 danseurs, chanteurs, musiciens sur scène. Peut-on faire de la Traviata une comédie musicale sans trahir radicalement Verdi ? A priori non ! Alors, trahissons... C'est là le pari un peu fou d'une troupe très insolente constituée d'artistes professionnels (handicapés ou pas) et amateurs (autistes ou non) qui font ici, à leur manière, bouger les lignes de l'art lyrique...