Cette pièce phare du théâtre des townships fait se rencontrer deux cultures, l’art africain du conteur et la tradition du théâtre occidental. Dans le contexte de l’apartheid en Afrique du Sud, la pièce aborde les questions d’identité de manière universelle : en dehors de notre définition sociale, qui sommes-nous vraiment ?

Cette pièce phare du théâtre des townships fait se rencontrer deux cultures, l’art africain du conteur et la tradition du théâtre occidental. Dans le contexte de l’apartheid en Afrique du Sud, la pièce aborde les questions d’identité de manière universelle : en dehors de notre définition sociale, qui sommes-nous vraiment ?

Cette pièce phare du théâtre des townships fait se rencontrer deux cultures, l’art africain du conteur et la tradition du théâtre occidental. Dans le contexte de l’apartheid en Afrique du Sud, la pièce aborde les questions d’identité de manière universelle : en dehors de notre définition sociale, qui sommes-nous vraiment ?

Sud-Africain, blanc, Athol Fugard décrit avec acuité les conséquences humaines de l’apartheid et devient, dans les années 60, une des figures marquantes de l’opposition politique de son pays. Boesman et Lena, métis, étaient ouvriers : un bulldozer les a chassés de leur bidonville… L’arrivée d’un vieux Bantou mourant bouleverse leur relation. Mis en scène par Philippe Adrien.

Le festival Avis de turbulences accueille, aux côtés de chorégraphes en résidence, de jeunes compagnies venant de tous horizons. Audacieuse, sa programmation offre un espace de liberté aux chorégraphes de demain. C’est un appel à la diversité, à la curiosité, où les genres se rencontrent et se croisent. La danse sera présentée sous toutes ses formes... créations, performances, expositions et vidéos.

L'île de Robben Island (où fut enfermé Mandela). Deux hommes, qui, chaque matin, entrent dans un cycle de labeur qui détruit l'âme et efface l'esprit sous un soleil brûlant. Le soir, dans leur cellule, ils recommencent à vivre en parlant, en riant, et surtout en essayant de ne pas se couper du monde.

John et Winston sont prisonniers politiques. La journée, ils travaillent sous les coups de Hodoshe, le gardien. Le soir, ils répètent Antigone. Mais Winston ne veut pas répéter. Et John lui veut avancer. Une pièce où la gravité joue avec le burlesque.

Harold est un lycéen blanc de 17 ans. Il a grandi en compagnie de deux domestiques noirs : Sam et Willie, employés du Salon de Thé de ses parents. Tandis qu’Hally enseigne aux « boys » tout ce que lui-même apprend à l’école, Sam et Willie partagent en toute complicité les faits et gestes de leur vie quotidienne avec le jeune garçon. Mais l’affection qui unit Hally aux deux hommes est menacée par l’autorité qu’il détient.

A travers ce drame minimaliste, Athol Fugard révèle toute la puissance de son écriture. Il nous présente avec simplicité et finesse une vision, celle d'une femme en proie au doute, prête à sacrifier la quête de toute une vie. Les thèmes de l'identité, du besoin de reconnaissance par l'autre, de l'engagement artistique et humain prennent corps à travers cette histoire et ces mots.

Peter Brook revient, avec la grâce et la magie qu’on lui connaît, sur le théâtre des townships pour nous offrir un moment de connivence avec un précieux fragment de la culture urbaine sud-africaine.