Suite au succès d’Armide, l’Opera Atelier – Toronto interprète Persée au Château de Versailles, où il n’a pas été représenté depuis l’inauguration de l’Opéra Royal en 1770 : c’est dire que l’oeuvre était chère au coeur de la Cour pour être encore jouée un siècle après sa création.

Chef-d’œuvre du 17e siècle, Armide illustre le choc des mondes chrétien et musulman au travers de l’histoire de l’invincible chevalier Renaud et de la princesse-guerrière musulmane Armide. Dans des costumes somptueux, plaçant la chorégraphie comme soutien du drame musical, cette Armide venue du Canada est servie par des solistes de l’ancien et du nouveau monde, accompagnés par les Chantres du CMBV.

Après les magnifiques représentations d’Armide de Lully en 2012 à Versailles, Marshall Pynkoski a triomphé à la Mozartwoche de Salzbourg, et revient à Versailles avec son énergie qui souligne chaque instant de la musique pour redonner vie à l’une des œuvres phares de Lully  : Persée, qui n’a pas été représenté à Versailles depuis l’inauguration de l’Opéra Royal en 1770.

Chef-d’œuvre du 17e siècle, Armide illustre le choc des mondes chrétien et musulman au travers de l’histoire de l’invincible chevalier Renaud et de la princesse-guerrière musulmane Armide. Dans des costumes somptueux, plaçant la chorégraphie comme soutien du drame musical, cette Armide venue du Canada est servie par des solistes de l’ancien et du nouveau monde, accompagnés par les Chantres du CMBV.

Dans la très fertile production de Haendel (39 opéras), cet opéra est particulièrement remarquable par la scène de folie, célèbre, à juste titre dans laquelle Orlando s'imagine en Enfer et qui se situe quant à son style entre la basse chromatique de Purcell et une anticipation par son rythme des Furies dans l'Orfeo de Gluck.

Dans la très fertile production de Haendel (39 opéras), cet opéra est particulièrement remarquable par la scène de folie, célèbre, à juste titre dans laquelle Orlando s'imagine en Enfer et qui se situe quant à son style entre la basse chromatique de Purcell et une anticipation par son rythme des Furies dans l'Orfeo de Gluck.