Voyage musical aux Amériques : de Rio de Janeiro au Gospel.

« Quand je danse, je danse » disait Montaigne. Voilà pour résumer l’état d’esprit de ce concert. Time to Dance est l’occasion pour vous de tout oublier et de vous laisser bercer un instant à l’écoute d’un tango, aux sons endiablés d’un accordéon et bien d’autres. Un programme rempli de pépites musicales rythmées de surprises en tout genre… Ambiance festive et joyeuse garantie !

Un concert dédié aux compositeurs du Groupe des Six, le Maestro Michel Plasson s’est tout de suite attaché à la construction de ce programme aux côtés de l’Orchestre Lamoureux.

Wilhem Latchoumia, pianiste à l’aura internationale encensé par les plus grands compositeurs d’aujourd’hui, partage la scène avec Mario Canonge, l’un des principaux artisans du jazz caribéen. La rencontre inédite de deux virtuoses solaires.

Dirigée par Élisabeth Platel, l’École de Danse de l’Opéra national de Paris présente son spectacle annuel. Au programme, Roland Petit, José Martinez et Nils Christe. Le temps d’une soirée, le « Gala des Écoles de danse du XXIe siècle » permettra également aux élèves de plusieurs institutions internationales de se produire sur la scène du Palais Garnier.

Musique brésilienne à l'honneur dans un programme mêlant des œuvres classiques au légendaire The Girl from Ipanema, en l'honneur du bicentenaire de l'instauration d'écoles des Beaux-Arts à Rio.

Dans l’ambiance d’un cabaret des années 1920, une évocation du légendaire Bœuf sur le Toit à l’époque où Jean Cocteau l’animait. Quatre chanteuses, trois pianistes et un poète le font revivre sur des airs de Gershwin, Cole Porter, Poulenc, Satie, Kurt Weill... Du jazz, de l’élégance, de la poésie. Un bonheur.

Envoûtant, grandiose, éclatant, Le Sacre du printemps de Stravinski est un chef-d’œuvre à part dans l’histoire de la musique. Il faudra toute la fougue d’Enrique Mazzola pour interpréter cette musique parmi les plus incroyables jamais écrites.

Préservé des destructions, source d’inspiration pour les artistes, Paris attire comme un aimant les musiciens. Janequin en a décrit les bruits dès le XVIe siècle. D’autres y ont fait carrière comme l’incontournable Cherubini, au lendemain de la Révolution française. Certains y ont cherché la quiétude à l’instar de Rossini, et parfois même le refuge et la reconnaissance si l’on songe à Offenbach et Wagner. Tous ont goûté les apparences parfois trompeuses mais aussi la joie de vivre de Paris. Milhaud et Gershwin en ont été, eux aussi, des témoins privilégiés.

Comment habiter un décor de spectacle ? La musique peut-elle interagir avec cet univers onirique, peut-elle s’y épanouir, évoluer et le faire évoluer ? Relevons le défi : tentons de répondre à ces questions grâce à ce concert imaginé par le pianiste Michalis Boliakis et ses invités, en écho avec le spectacle Erik Satie, Mémoires d'un amnésique.