Jeune bretonne au caractère déjà bien trempé, Enora débarque à Paris, prête à en découdre avec la capitale... c’est décidé elle sera comédienne !
Après une formation au cours Simon, elle répond à l’appel du Théâtre contemporain et de la performance artistique qui la portent vers de multiples et riches collaborations. Avec la compagnie Fanadeep elle joue Fils de D (espace Pasolini, Valenciennes), avec Claire Maugendre (collaboratrice de Ian Fabre) : Quartett d’Heiner Müller et Casanova (MC93, Bobigny), puis elle exprime son art aux Ateliers Berthier.
Son rôle de clown dans Le contre Pitre d’Hélène Parmelin lui souffle l’envie de goûter à un art plus populaire, mais loin de s’imaginer qu’elle incarnerait le trublion à la télé.
Une rencontre déterminante avec Paul Ouazan la fait travailler dans son atelier de recherche sur Arte, ce qui développera son goût pour la télé.
En 2010 Sébastien Cauet l’embarque dans le tourbillon de son émission C’Cauet qu’elle co-anime sur NRJ. La même année, elle est choisie par Cyril Hanouna comme chroniqueuse dans l’émission Touche pas à mon poste lui apportant un énorme succès. Les quelques infidélités avec Laurent Ruquier sur Europe 1 dans l’émission On va pas se gêner ne l’empêcheront pas de rester « la Enora de la bande de Hanouna » : à la fois notre cousine de coeur, notre jolie voisine ou notre copine énervante ou énervée qu’on adore détester mais qu’on ne peut s’empêcher de regarder, sans jamais penser une seule seconde que c’était peut-être là son premier grand rôle de composition...
Libre, Enora décide de se consacrer à des projets qu’elle aime et qui lui tiennent farouchement à coeur : comme animer la Libre antenne de Virgin Radio pendant deux ans (qui était un de ses rêves), avoir ses propres émissions telles que Derrière le poste ou encore Le van parmi d’autres et créer le site féminin « La Women Trend Family » imaginé avec sa consoeur la journaliste Justine Fraioli. En parallèle elle officie sur France 2 aux côtés de Stéphane Bern dans l’émission Bon baiser d’Europe.
Dernièrement au théâtre du Gymnase, elle retrouve ses premiers amours en interprétant « la môme crevette » dans La dame de chez Maxim de Feydeau sous la bienveillance du metteur en scène Alain Sachs. Sans filtre, elle se confie dans son premier roman Un cri du ventre, sortie prévue octobre 2019 aux éditions Leduc. Aujourd’hui, elle continue l’aventure dans la pièce de Sylvain Meyniac et Manuel Gelin A vrai dire.
Théâtre de la Tour Eiffel, Paris
Laponie 16h95. Quand une mère Noël, partiellement fidèle, deux lutins, pas forcément à la bonne taille, un homme d’affaires sans scrupule, et un voisin très envahissant, regardent ensemble mais pas dans la même direction. C’est le mythe de Noël qui part en sucette.
Gymnase Marie Bell, Paris
Gymnase Marie Bell, Paris
Gymnase Marie Bell, Paris