Mélanie Charvy et Millie Duyé nous plongent dans le quotidien d’un système scolaire en ébullition à travers une galerie de personnages qui tentent de faire, ensemble, ce que le politique ne semble pas réussir à réparer. À partir de 13 ans

Doula, nom féminin, mot arabe dérivé du grex « doulê » qui signifie « esclave », « servante ». « Femme qui accompagne et soutient une femme enceinte et son entourage avant, pendant et après l’accouchement. À la différence d’une sage-femme, une doula n’est pas diplômée » (dictionnaire Larousse).

Jouant avec les codes du thriller, Lucas Samain livre une pièce haletante sur fond de scandale écologique. Construite comme un huis clos, elle pose la question simple : jusqu’où la société est-elle prête à se battre pour sauver la vie d’un homme ?

Mélanie Charvy et Millie Duyé nous plongent dans le quotidien d’un système scolaire en ébullition à travers une galerie de personnages qui tentent de faire, ensemble, ce que le politique ne semble pas réussir à réparer. À partir de 13 ans

Julie Duclos revient avec une « fresque des temps modernes » due au plus grand dramaturge suédois contemporain. Cela pourrait être un documentaire, mais métamorphosé par une langue à la fois poétique, triviale et redoutablement précise

Mélanie Charvy et Millie Duyé nous plongent dans le quotidien d’un système scolaire en ébullition à travers une galerie de personnages qui tentent de faire, ensemble, ce que le politique ne semble pas réussir à réparer. À partir de 13 ans

C’est l’histoire d’un homme qui vit à Paris avec sa fille de 10 ans. Sur le papier que cette dernière a trouvé épinglé à la porte de leur appartement, des mots griffonnés au feutre noir : « Guerre et Paix : contrepèterie douteuse ». Très vite, tout s’emballe. Qui a écrit ces mots ? Qui le soupçonne d’être un mauvais père ? Peut-on être gay et père ? Thomas Quillardet adapte le roman de Christophe Honoré.

Julie Duclos revient avec une « fresque des temps modernes » due au plus grand dramaturge suédois contemporain. Cela pourrait être un documentaire, mais métamorphosé par une langue à la fois poétique, triviale et redoutablement précise

C’est l’histoire d’un homme qui vit à Paris avec sa fille de 10 ans. Sur le papier que cette dernière a trouvé épinglé à la porte de leur appartement, des mots griffonnés au feutre noir : « Guerre et Paix : contrepèterie douteuse ». Très vite, tout s’emballe. Qui a écrit ces mots ? Qui le soupçonne d’être un mauvais père ? Peut-on être gay et père ? Thomas Quillardet adapte le roman de Christophe Honoré.

Présenté à Avignon en 2018, ce succès a marqué magistralement la sortie de la 5e promotion d’auteurs et d’acteurs de l’École du Nord et l’entrée tant attendue de Jean-Luc Lagarce dans le in. Les quatorze comédiens dirigés par Christophe Rauck restituent avec superbe la musique de la langue et l’univers poétique de l’auteur. Ils portent avec une dose d’humour, de profondeur et de finesse, un émouvant voyage vers Le Pays lointain où des éclats d’autres pièces viennent alimenter les motifs de ce texte testamentaire.