François Pirette est né Thierry Van Cauberg à Mons, en Belgique, le 7 février 1963.
Thierry traverse son enfance et son adolescence « à l’ombre des terrils », comme on dit dans les lourdes littératures suintant la sueur et le charbon.
1982 À 19 ans Thierry l’étudiant décroche un job de standardiste pour le week-end, au centre de production de la RTBF à Mons. Le téléphone ne l’occupera que d’octobre à décembre ...
1983 Le 9 janvier, il est propulsé sur l’antenne nationale de la radio où il a d’emblée sa propre émission, tous les dimanches de 10 à 11 heures, parce que, parait-il, il faisait rire dans les couloirs…
1984 Premier album de compilation de ses meilleurs canulars téléphoniques. (Car pour beaucoup, François Pirette c’est avant tout 10 ans de radio et de canulars téléphoniques.)
1992 Premier spectacle : 58 ans en 2021. Tournée, diffusion télé, première sortie VHS.
Dix ans de radio dominicale plus tard, Thierry, devenu François Pirette par la force des ondes et du canular téléphonique, s’est illustré sur scène, à la télévision et est devenu, au gré des hasards et des succès l’un des amuseurs les plus populaires de Belgique.
1994 Laurent Ruquier lui propose de rejoindre l’équipe de son émission quotidienne Rien à Cirer sur France Inter puis sur France 2. Ils collaboreront joyeusement deux saisons de suite.
1996 Thierry, alors éloigné de sa Belgique depuis près de deux ans, trempe la plume dans sa belgitude et écrit depuis Paris J’ai très bien connu Chose !, one-man-show de plus de trois heures qui le fera consacrer par la presse de chez lui « artiste de tous les records ».
1997 Première aventure au théâtre où il joue et met en scène Le père noël est une ordure. Tournée de 80 dates.
1998 Nouveau one-man-show Le futur a de l’avenir. Tournée, diffusion télé, VHS…
2001 Nouveau spectacle Pop Art. Record d’audience absolu lors de sa diffusion à la télévision en janvier 2002.
2002 Il revient au théâtre et signe l’adaptation et la mise en scène de La bonne planque qu’il joue en tournée pendant plus d’un an. La pièce fera même l’objet d’une retransmission en direct, une grande première pour la télévision et le théâtre belges.
2003 Pirette fête ses « vingt ans » à Forest National (plus grande salle de concert de Bruxelles) qui affiche deux soirs de suite le nom du standardiste engagé 20 ans plus tôt à la radio.
Le spectacle, enregistré par douze caméras de la RTBF, sort en double DVD fin 2003 et est retransmis à la télévision début 2004.
2004 Il quitte le service public pour RTL-TVI, la chaîne privée francophone belge où il crée le Pirette show.
2005 François écrit son spectacle le plus noir et le plus abouti : Chaleur charbon avec lequel il tourne en Belgique plusieurs mois durant. Sa diffusion en janvier 2006 signe son deuxième record d’audience.
2006 Il décide à l’automne de se présenter au public parisien et inscrit son nom au programme du Petit Théâtre du Gymnase à la fin du mois d’octobre, sans vraiment savoir ce qui l’attend…
2007 A la fin du mois de janvier, à l’invitation de la direction du théâtre, Pirette s’installe dans la grande salle du Théâtre du Gymnase. Un petit Belge dépose ainsi timidement sa valise dans la loge de ceux qui l’ont tant fait rêver et qui l’inspirent encore aujourd’hui.
Il y revient dès le 3 octobre. Même endroit, même heure…
Entre temps, en Belgique, François aura écrit et tourné son nouveau spectacle : Un jour, je serai optimiste, diffusé le 20 septembre 2007 à la télévision belge.
Cet(te) artiste n'est pas lié(e) en ce moment à un spectacle.
Casino de Paris, Paris
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