Edouard Baer, il est super, c’est mon copain. Il m’a invité souvent dans des trucs rigolos qu’il faisait à la télé ou à la radio et maintenant on fait ensemble Le Grand Mezze au Rond-Point. C’est un complice épatant. Je suis fier et heureux d’innover avec lui.
Avec mes copains Benoît Delépine et Jean-Marie Gourio, on a inventé la belle grande formule des Guignols de Canal, à contre-courant de ce qui se faisait avant. C’était exaltant.
J’ai une authentique affection pour quelques comiques très populaires. J’ai beaucoup travaillé avec Pierre Palmade, j’ai prêté main forte à Jean-Marie Bigard. Je récidiverai à l’occasion.
Jean-Michel Ribes est un gars essentiel dans ma vie. Je m’honore de mériter son estime et son amitié. Il m’a convié à Merci Bernard, m’a adoubé dans Palace, et m’a entraîné dans des tas d’autres aventures. Il a mis en scène mon premier spectacle, Hirondelles de Saucisson, et il me remet en scène cette fois-ci.
J’ai écrit le spectacle Colères avec Joël Dragutin, qui m’a mis en scène. Je suis fier comme un pou de ce qu’on a fait ensemble. Il m’a emmené très loin.
J’aime bien la musique. J’ai été un pilier de Tchouk-Tchouk-Nougâh, un groupe musical burlesque. Ensuite, j’ai conçu et mis en scène un spectacle des Désaxés (quatre saxophones), puis celui des Trompettes de Lyon (cinq trompettes). Maintenant, avec mon ami Jean-Félix Lalanne, je donne dans la guitare.
J’ai croisé l’inclassable Patrick Robine, l’ineffable Pierre Aucaigne, et le virtuose Vincent Roca. Je suis leur co-auteur, leur metteur en scène, et leur ami.
J’ai croisé l’étrange Jean-Jacques Vanier. J’ai co-écrit et mis en scène deux de ses spectacles, dont L’envol du Pingouin. On a bien bossé, et ça s’est su.
Je me suis lié d’amitié avec l’auteur Gérald Sibleyras. C’est ainsi que j’ai mis en scène son remarquable Béret de la Tortue, et que j’ai écrit avec lui Le petit chat jaune, pour mon ami Darry Cowl, une joyeuse comédie qui devrait voir le jour bientôt.
Je me suis penché sur le travail du conteur Gérard Potier. J’ai adoré co-écrire et mettre en scène son spectacle Quand je serai petit. Je n’oublie pas ma collaboration avec Chantal Ladesou, Laurent Violet, Serge Riaboukine, ou Stéphane Guillon. Chacun m’a apporté de belles émotions.
J’ai inventé la formule du « Championnat du Monde de récit par équipes en relais ». C’est un objet théâtral inattendu qui a cassé la baraque ici et là. J’en referai à l’occasion.
J’ai fait un an de chroniques dans les Matinales d’Europe 2. Sur la même station, j’ai fait le zouave avec mon ami Laurent Baffie. C’était rigolo.
Quand les radios libres sont apparues, je me suis agité comme un fou (Gilda, Mercure, Métropole). J’ai beaucoup appris.
France-Inter a longtemps été ma maison. J’y ai servi, dans la joie, Villers, Mermet, et quelques autres. J’ai chroniqué quotidiennement pendant trois ans avec Brigitte Vincent, puis deux ans avec Serge Fournel (Curriculum Vite Fait).
Karl Zéro m’a souvent appelé à la rescousse, et m’a ouvert des espaces de liberté dont j’ai joyeusement profité (Le vrai journal, Le JBN).
J’ai fait un bout de chemin avec Ardisson, pour lequel j’ai imaginé Ardimat. C’était une époque.
J’ai fricoté avec le cinéma, comme comédien ou comme scénariste. Plein de belles émotions avec Pierre Jolivet, Frédéric Jardin, ou Rémi Waterhouse.
J’ai été un collaborateur zélé du journal Le Monde pendant plus de 10 ans. Ma mère était fière de ça. Je peux comprendre.
Je me suis glissé dans les colonnes de Fluide Glacial ou de Vu de Gauche. Il faut bien militer un peu.
J’ai fait les textes de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques d’Albertville. Ma plus belle audience (2 milliards de téléspectateurs).
J’ai fait de biens jolis petits bouquins avec Benoît Jacques, avec Michel Bridenne. C’est chouette, les bouquins.
J’ai publié chez Glénat un recueil de chroniques, J’ai réfléchi pour vous.
Chez Warner, j’ai commis deux cassettes Professeur Rollin, magistralement filmées par Ribes.
J’ai adapté les spectacles du génial québécois Pierre Légaré. Je suis déjà bien fier, et je le serai encore plus quand on va le monter à Paris.
La Scala Paris, Paris
Xavier tourne en rond, il patauge au milieu des contradictions. À deux doigts de l'implosion, il a une illumination ! Changer le monde. Redonner optimisme et foi en l’humanité. Bonne chance à lui…
La Scala Paris, Paris
Xavier tourne en rond, il patauge au milieu des contradictions. À deux doigts de l'implosion, il a une illumination ! Changer le monde. Redonner optimisme et foi en l’humanité. Bonne chance à lui…
Théâtre La Flèche, Paris
Xavier tourne en rond, il patauge au milieu des contradictions. À deux doigts de l'implosion, il a une illumination ! Changer le monde. Redonner optimisme et foi en l’humanité. Bonne chance à lui…
L'Archipel, Théâtre et Cinéma, Paris
Une heure de pur plaisir ! Un trio de rêve, rassemblé autour de l'accordéon endiablé de Roland Romanelli, entreprend de vous offrir un récital de jazz manouche, enchaînant les morceaux favoris de l'un des maîtres du genre, Django Reinhardt.
Le Bout, Paris
Je n’aime pas me vendre mais je vais essayer de me racheter.
Théâtre des Mathurins, Paris
On pleure un peu, on rit beaucoup et on chante "Résiste" avec les vaches.
Le Bout, Paris
Je n’aime pas me vendre mais je vais essayer de me racheter.
La Divine Comédie, Paris
Théâtre du Marais, Paris
Théâtre du Marais, Paris
Petit théâtre des Variétés, Paris
Gymnase Marie Bell, Paris