Le danseur Bryan Montarou conjugue, confronte et entrelace ses mouvements avec les quatre musiciens.

Un plateau de rêve avec la soprano sud-africaine, Golda Schultz et les frères ténors, Pene Pati et son cadet Amitai Pati accompagnés par Les Frivolités Parisiennes.

Sumi jo, une grande diva pour la paix dans le monde.

Le rare exercice de la double tessiture pour ce récital « baritenore » par Michael Spyres. Avec l'Opera Fuoco, direction David Stern.

Le programme fait la part belle aux chefs-d'œuvre du grand répertoire d'opéra, avec un intérêt tout particulier pour la musique française que Plácido Domingo chante avec bonheur et gourmandise. Accompagné de l'Orchestre de l'Opéra Royal sous la direction du brillant Laurent Campellone, et en duo avec l'éblouissante soprano María José Siri, Plácido Domingo arrive à Versailles en véritable légende vivante de l'opéra pour une soirée inoubliable.

Sumi jo, une grande diva pour la paix dans le monde.

Socle d’une tourbillonnante action tendue vers la danse, la partition de Franz Lehár, dans la plus pure tradition viennoise, fait montre d’un raffinement orchestral et mélodique rarement atteint dans une opérette. Valses, mazurkas, polkas offrent leur rythme à la mise en scène de Jorge Lavelli qui, inscrite dans les années 1920, célèbre les fastes du monde d’hier tout en levant le rideau sur sa fragilité. Avec Véronique Gens. En langue allemande, surtitré.

Cette série de récitals présente la fleur des jeunes chanteurs lyriques en cours de perfectionnement auprès des Académies les plus réputées. L'Académie de l'Opéra national de Paris, créée en septembre 2015, a pour ambition d’accompagner des jeunes artistes et artisans des métiers d’art au début de leur carrière et à l'apprentissage de leurs métiers.

L’Orchestre de chambre de Paris, dirigé par Julien Masmondet, vous fait danser au rythme de valses françaises et viennoises, issues de films ou encore de chansons françaises.

La compagnie de Pina Bausch le Tanztheater Wuppertal présente Nelken, sur une scène recouverte par des centaines d’œillets roses, dans un paysage idyllique. Les danseurs jouent comme des grands enfants, mais la panique s’empare des uns et des autres et dévoile le vrai visage des individus, les mécanismes de la domination et de la soumission.