La Seine Musicale - Auditorium
le 21 nov. 2024
Hector Berlioz est un compositeur, chef d'orchestre, critique musical et homme de lettres français né le 11 décembre 1803 à La Côte-Saint-André (Isère) et mort le 8 mars 1869 à Paris.
Il fait des études de médecine à Paris. Il étudie la musique en autodidacte. Il écrit une Messe solennelle qu'il fait jouer le 10 juillet 1825 en l'église Saint-Roch. Il entre au Conservatoire dans la classe de composition de Lesueur et suit également les cours de fugue et de contrepoint d'Anton Reicha.
Il se lie d'amitié avec les jeunes gloires du romantisme littéraire et pictural : Victor Hugo, Lamartine, Nerval, Delacroix. Tous ces « Jeune-France », qui participeront pour la plupart en 1830 à la bataille d'Hernani assistent aux soirées shakespeariennes de l'Odéon en septembre 1827 ; la grande vedette est une actrice irlandaise, Harriet Smithson, dont Berlioz tombe éperdument amoureux. Il écrit pour elle la Symphonie fantastique. En août 1830, il obient le grand prix de Rome et part pour la Villa Médicis. Il épouse Harriet Smithson le 3 octobre 1833.
Il compose et écrit également des articles musicaux dans les revues de l'époque.
Il meurt le 8 mars 1869.
Musique symphonique
1830 : Symphonie fantastique, épisode de la vie d’un artiste, op. 14
1831 : Le Roi Lear, pour orchestre
1834 : Harold en Italie, symphonie à programme avec alto principal, op. 16
1839 : Roméo et Juliette, symphonie pour solistes, chœur et orchestre, op. 17
1840 : Grande Symphonie funèbre et triomphale, op. 15
1843–1844 : Le Carnaval romain, ouverture pour orchestre, op. 9
Musique lyrique
1826–1833 : Les Francs-juges, partition incomplète
1834–1837 : Benvenuto Cellini
1846 : La Damnation de Faust, légende dramatique, destinée au concert
1856–1858 : Les Troyens
1860–1862 : Béatrice et Bénédict
Musique chorale et vocale
1824 : Messe solennelle
1832 : Le Retour à la vie, deuxième partie de l'Épisode de la vie d’un artiste, plus tard (en 1855) intitulée Lélio ou le Retour à la vie, op. 14b
1837 : Grande Messe des morts ou Requiem
1840–1841 : Les Nuits d'été
1846–1846 : Le Chant des chemins de fer
1849–1851 : Tristia
1850–1854 : L’Enfance du Christ, trilogie sacrée
1849–1855 : Te Deum
Théâtre des Champs-Elysées, Paris
Une nouvelle venue du Ballet de l’Opéra National d’Ukraine et la féérie de La Reine des neiges d’après Andersen. Représentation en audiodescription le 5 janvier à 15h.
La Seine Musicale - Auditorium, Boulogne-Billancourt
La Seine Musicale accueille Wagner et Berlioz comme il se doit dans son Auditorium à 360 degrés, avec pas moins de 80 musiciens sur le plateau !
Opéra Garnier, Paris
Si Benjamin Bernheim est régulièrement invité à l’Opéra, c’est dans le cadre intime du récital que ce ténor incontournable de la scène lyrique donne rendez‑vous au public du Palais Garnier.
Théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelines, Montigny-le-Bretonneux
L’Orchestre national d’Île-de-France nous invite à voyager dans
l’intensité de la fièvre créatrice. Fantastique ! pour dire à la fois
la dimension irréelle de ces œuvres et l’éblouissement qu’elles
provoquent.
Opéra Royal de Versailles, Versailles
Le grand chef berliozien John Eliot Gardiner dirige son Orchestre Révolutionnaire et Romantique et le Monteverdi Choir dans cette œuvre fétiche, la portant à l’incandescence dans le décor historique (1837) de l’Opéra Royal que Berlioz a connu : ouvrons les portes de bronze de l’Histoire !
Théâtre des Champs-Elysées, Paris
Le programme visionnaire et tout en nuances d’Alexander Melnikov.
Opéra Royal de Versailles, Versailles
Daniel Harding s'empare du poème symphonique de Berlioz, ici non pour un ballet mais pour un concert. Symphonie dramatique sur un livret d’Emile Deschamps créée à Paris en 1839. Concert en français surtitré en français et en anglais.
Orangerie du Château de Versailles, Versailles
Avec la Révolution et surtout l’Empire, la France développe un sentiment national très fort, qui va inspirer les musiques symphoniques et lyriques de tout le XIXe siècle. Grand connaisseur des musiques de cette époque, Hervé Niquet ne pouvait trouver meilleurs interprètes que le chœur de l’Armée française et l’orchestre de la Garde républicaine, véritables emblèmes musicaux de la Nation !
Théâtre des Champs-Elysées, Paris
Kun-Woo Paik, le « plus français des pianiste coréens » entourés de trois jeunes prodiges du clavier très prometteurs.
Déchargeurs, Paris
Mis en scène par Oliver Broche, ancien des Deschiens, le ténor se rit du ténor dans un joyeux patchwork musical et littéraire où l’impertinence côtoie la grâce.
Opéra Royal de Versailles, Versailles
Interprétation sur instruments historiques appropriés sous la baguette de François-Xavier Roth.
La Scala Paris, Paris
Deux Temps : l’un directionnel, temps irréversible de l’Histoire et l’autre, temps de l’inconscient, éternel présent de la contemplation. Dilatés, compressés, scandés ou arrêtés, ces différents Temps nous entraînent dans un univers poétique où le saxophone, en constante métamorphose, nous fait voyager de l’élégance de Berlioz à la douceur de Leroux, de la noirceur de Ravel au mystère de Webern, en passant par le pulse électronique de Long Playing, nouvelle œuvre du génial Matteo Franceschini.
Théâtre des Champs-Elysées, Paris
La Seine Musicale - Auditorium
le 21 nov. 2024