Jean Bellorini confie à Valère Novarina la réécriture du mythe d’Orphée. Le Jeu des ombres sera une plongée joyeuse dans une langue exubérante, en dialogue avec les grands thèmes musicaux de L’Orfeo de Claudio Monteverdi.

Qui sont-elles ? Et pour qui se prennent-elles ? Elles ont en commun d’être très « cavalières » au sens d’avoir un comportement impertinent, insolent, audacieux. Et elles montent facilement sur leurs « grands chevaux ». 

Isabelle Lafon s’attelle ici à la forme classique par excellence. Elle compose un groupe de six comédiens, un homme et cinq femmes, une distribution inattendue sans doute, capable de recevoir la confidence de Racine.

Après son adaptation magistrale d'Onéguine, Jean Bellorini s'empare d'une pièce de l'auteur russe Nicolaï Erdman, interdite de son vivant. Une satire sociale irrésistiblement grinçante et absurde, effroyablement moderne, servie par une troupe épatante et une incroyable mise en scène. Résolument politique et engagée, c'est une pièce à voir absolument.

Jean Bellorini confie à Valère Novarina la réécriture du mythe d’Orphée. Le Jeu des ombres sera une plongée joyeuse dans une langue exubérante, en dialogue avec les grands thèmes musicaux de L’Orfeo de Claudio Monteverdi.

Que nous révèle et que nous cache ce groupe composé de cinq femmes et d’un homme qui se réunissent de façon hebdomadaire dans un centre social de l’Est parisien ? Cette création marque le retour d’Isabelle Lafon à La Colline.

Une lecture tout à fait personnelle de la pièce de Molière par Macha Makeïeff qui met en valeur les fulgurances et surtout l’humour décapant du texte d’origine en replaçant l’intrigue dans le contexte des années 70. Un spectacle à la fois pop et baroque avec des personnages hauts en couleur !

Isabelle Lafon s’attelle ici à la forme classique par excellence. Elle compose un groupe de six comédiens, un homme et cinq femmes, une distribution inattendue sans doute, capable de recevoir la confidence de Racine.

Reprise à ne pas manquer du succès de Jean Bellorini ! Une aventure théâtrale dans un monde fantastique, infernal et merveilleux, celui du Quart Livre et d'autres textes de Rabelais. Une invitation à (re)découvrir une langue polyphonique, insolente et savoureuse !

Boulgakov, maître du comique et du fantastique, écrit pour le théâtre une comédie mystique, profonde, drôle, un vaudeville frénétique sur l’exil et la défaite, sur les existences prises dans la folie de la révolution russe. La débâcle et le chaos y sont magnifiés par la drôlerie et l’excentricité de personnages de haut-vol, dans une mise en scène chantante et virevoltante de Macha Makeïeff.