Louise Pasteau

Louise Pasteau

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De 1999 à hier - Louise Pasteau

Nobody is perfect

La Scène Parisienne, Paris

du 15 oct. au 23 déc. 2019
1h20
COMÉDIE & BOULEVARD Comédie de moeurs Terminé
  • De : Sabine Hogrel
  • Mise en scène : Denis Cherer
  • Avec : Véronique Demonge, Nataly Dalian, Louise Pasteau, Polo Anid, Clément Desormeaux
A la veille de ses 37 ans, Audrey décide de ne plus se compliquer la vie. Tout peut être aussi simple qu’une enquête d’opinion, il suffit juste de cocher les bonnes cases. Et justement, elle vient de rencontrer l’homme de sa vie, Adrien. Beau, sublime, intelligent… sauf qu’il lui manque une case. Oh ! Trois fois rien, il est gay…Alors si 64% des personnes sont prêtes à quitter leur boulot pour suivre l’élu(e) de leur cœur, serait-elle capable de changer de sexe pour l’homme qu’elle aime ?
LIBERTÉ ÉGALITÉ OPHÉLIE

Théâtre du Marais, Paris

du 2 nov. au 17 déc. 2011
COMÉDIE & BOULEVARD Terminé
  • De : Louise Pasteau
  • Mise en scène : Louise Pasteau
  • Avec : Louise Pasteau, Flavien Cornilleau, Emilie Piponnier, Paola Secret, Romain Loustau
 " Le comportement borné des hommes face à la nature, conditionne leur comportement borné entre eux. " - Karl Marx, L'Idéologie allemande
La nuit s'est abattue comme une vache

Reine Blanche, Paris

le 18 janv. 2008
CONTEMPORAIN Terminé
  • De : Léon Masson
  • Mise en scène : Léon Masson
  • Avec : Louise Pasteau, Pierre Giafferi, Romuald Szklartchik, Mounir Fathi, Matthieu Dessertine, Maxime Tshibangu, Cédric Cantin, Vincent Brunol
Puis il édicte les règles du jeu. Se déroule alors ce qui doit se dérouler : la mise à mort d'une histoire d'amour jusqu'à l'insoutenable, jusqu'au grotesque, jusqu'à la révolte même des comédiens... Une pièce Kusturiqueste et Almodovarienne.
La mal à dire

Orme, Paris

du 4 au 21 mai 2006
CONTEMPORAIN Terminé
  • De : Léon Masson
  • Mise en scène : Léon Masson
  • Avec : Cédric Cantin, Grégoire Dessons, Pierre Giafferi, Mylène Ibazatène, Lara Marx, Louise Pasteau, Joséphine Théoleyre, Stanley Weber
"Tu étais loin et j'ai fermé les yeux, les paupières qui appuient, les unes contre les autres, sur les pupilles qui appuient au point préçis du tout, tu sais bien Emile, pour laisser danser les couleurs, pour se souvenir, pour ne pas pleurer. Du soleil meurt dans chaque larme."