Quelque part entre une cour de lycée et une zone périurbaine, des adolescents remontent le fil d’une relation complexe entre deux camarades et se livrent à un jeu où réel et fantasme se confondent. Spectacle de l'Avant-Seine programmé à la MJC de Colombes. À partir de 14 ans.

L’École des maris, la deuxième pièce la plus jouée du vivant de Molière se voit revisitée par la mise en scène de Luc Cerutti. Cette comédie met en lumière deux frères aux méthodes éducatives radicalement opposées. Sévérité, indulgence, quelle éducation pour quelles conséquences ?

Quelque part entre une cour de lycée et une zone périurbaine, des adolescents remontent le fil d’une relation complexe entre deux camarades et se livrent à un jeu où réel et fantasme se confondent. Spectacle de l'Avant-Seine programmé à la MJC de Colombes. À partir de 14 ans.

Dans une ébauche de palais, digne d’un plateau de tournage, quatre créatures isolées sont à la recherche d’un centre de gravité. Les protagonistes de cette pièce ne sont que les héritiers des héros de la guerre de Troie. Une génération de nantis, d’enfants gâtés, désoeuvrés, sans perspective, qui se regardent vivre et souffrir.

Frédéric Maragnani propose une révolution : Galilée est une femme ! Et c’est donc une jeune femme marocaine qui endosse le rôle, bouleverse la donne et le regard. La langue est autre. Le centre est ailleurs et la parole surgit des anciennes périphéries. Ici, d'une place de village dans le Maroc d'aujourd'hui.

3 auteurs, 3 mondes, 3 familles. La vôtre ? Ces 3 courtes pièces qui sont de véritables petits bijoux d’écriture - d’humour et d’horreur- permettent à un collectif d’acteurs virtuoses de bondir d’un monde à l’autre, et entraînent le spectateur ravi dans la folle épopée de nos familles contemporaines.

3 auteurs, 3 mondes, 3 familles. La vôtre ? Ces 3 courtes pièces qui sont de véritables petits bijoux d’écriture - d’humour et d’horreur- permettent à un collectif d’acteurs virtuoses de bondir d’un monde à l’autre, et entraînent le spectateur ravi dans la folle épopée de nos familles contemporaines.

Lolita Monga, écrivaine et réunionnaise, s’empare du destin édifiant de la Vénus Hottentote et confie la mise en scène à Frédéric Maragnani. Au-delà du personnage-symbole de la barbarie occidentale et colonialiste, la pièce poétique et décalée évoque l’exil– de la terre, de la langue, du corps.