Avec cette nouvelle étape, Daniel Léveillé questionne la nature des relations encore possibles dans un monde où l’omniprésence de la technologie isole toujours davantage. Solitudes duo propose une série de duos où les danseurs éprouvent simplement ce que leurs corps peuvent faire de notre « absolu besoin de l’autre ».

Avec cette nouvelle étape, Daniel Léveillé questionne la nature des relations encore possibles dans un monde où l’omniprésence de la technologie isole toujours davantage. Solitudes duo propose une série de duos où les danseurs éprouvent simplement ce que leurs corps peuvent faire de notre « absolu besoin de l’autre ».

Dans Amour, acide et noix, pièce composée en 2001, le chorégraphe québécois Daniel Léveillé choisit pour la première fois dans son travail le nu intégral pour les interprètes. Compacte et puissante, cette nudité frappe et émerveille tant elle est assumée par les danseurs. Rarement la danse n’a été montrée avec autant de précision sur la peau même des interprètes.

En partant d'une définition au plus serré de la danse, corps, musique, mouvement, le chorégraphe réussit, en puisant les corps dans la source de leur propre énergie, à déployer une nouvelle danse contemporaine tribale. A la fois danse d'aujourd'hui, d'hier et de demain. Une oeuvre déroutante.