Imaginons qu’un chirurgien, le professeur Philippe Philippovitch, ramasse un chien dans la rue. Imaginons toujours qu’avec l’aide du docteur Bormenthal, il lui greffe l’hypophyse et les testicules d’un homme.

Imaginons qu’un chirurgien, le professeur Philippe Philippovitch, ramasse un chien dans la rue. Imaginons toujours qu’avec l’aide du docteur Bormenthal, il lui greffe l’hypophyse et les testicules d’un homme.

Cette pièce de théâtre résonne avec une acuité toute particulière dans le contexte social actuel. A ce titre elle mérite évidemment d'être vue par tous les « immigrés » de Paris. Mais également les émigrés que nous sommes dans un monde où l'absurdité côtoie tout à la fois la férocité et le rire.

Imaginons qu’un chirurgien, le professeur Philippe Philippovitch, ramasse un chien dans la rue. Imaginons toujours qu’avec l’aide du docteur Bormenthal, il lui greffe l’hypophyse et les testicules d’un homme.

Cette pièce de théâtre résonne avec une acuité toute particulière dans le contexte social actuel. A ce titre elle mérite évidemment d'être vue par tous les « immigrés » de Paris. Mais également les émigrés que nous sommes dans un monde où l'absurdité côtoie tout à la fois la férocité et le rire.

Cette pièce de théâtre résonne avec une acuité toute particulière dans le contexte social actuel. A ce titre elle mérite évidemment d'être vue par tous les « immigrés » de Paris. Mais également les émigrés que nous sommes dans un monde où l'absurdité côtoie tout à la fois la férocité et le rire.