Elle est née à Paris en 1965.
Son premier livre, Dans le temps, a été publié aux Éditions Verticales (1999). Depuis, sont parus, toujours chez Verticales, trois récits : Mes petites communautés (1999), Puisque nous sommes vivants (2000), L’homme de mes rêves ou Les mille travaux de Barnabé le sage devenu Barnabé le bègue suite à une terrible mésaventure qui le priva quelques heures durant de la parole (2002).
En mars 2004, a paru dans la collection Minimales, créée récemment par les Éditions Verticales, un conte cruel intitulé Les sept voies de la désobéissance.
Olivia Rosenthal vient d’achever un nouveau récit : Les fantaisies spéculatives de J.H. le sémite, à paraître le 14 janvier 2005.
Depuis 2000, Olivia Rosenthal s’essaie à l’écriture dramatique. Elle a d’abord composé deux fictions radiophoniques (Un épisode sanglant de mon histoire 1 et 2) qui ont été diffusées sur France Culture en novembre 2000.
Après Les félins m’aiment bien, sa première pièce de théâtre, à paraître chez Actes Sud-Papiers le 3 décembre 2004, et mise en scène par Alain Ollivier au Théâtre Gérard Philipe de Saint-Denis en 2005, elle continue à écrire pour le théâtre et prépare une farce grotesque dont le titre provisoire est : Des cochons et des hommes.
Cet(te) artiste n'est pas lié(e) en ce moment à un spectacle.
Malakoff scène nationale – Théâtre 71, Malakoff
Olivia Rosenthal revient accompagnée du compositeur et musicien Eryck Abecassis pour poursuivre l’éloge des bâtards qui peuplent son dernier roman. Une performance littéraire et musicale pour chercher d’autres manières d’être ensemble et d’habiter les lieux.
Théâtre Ouvert, Paris
Lors de ce cabaret transatlantique, nous examinerons ce qui constitue, mue, disloque ou réunit les différentes échelles du temps adulte, dans les mots de leurs dignes représentant·es. Il s’agira d’identifier où se tisse le commun à travers des portraits subjectifs, des procès de bonne foi, des utopies naissantes ou lasses, des envies ou pas d’un ensemble, d’un mieux partagé.
Théâtre de Sartrouville et des Yvelines – CDN , Sartrouville
On n’est pas là pour disparaître raconte l’histoire de Monsieur T., atteint de la maladie d’Alzheimer, qui, le 6 juillet 2004, a poignardé sa femme de cinq coups de couteau. La voix de Monsieur T. s’entrecroise avec celles de ses proches, des médecins et de l’autrice elle-même. Ce feuilletage de discours fait résonner, en chacun de nous, l’angoisse suscitée par l’oubli et l’effacement de la mémoire.
Théâtre 14, Paris
On n’est pas là pour disparaître raconte l’histoire de Monsieur T., atteint de la maladie d’Alzheimer, qui, le 6 juillet 2004, a poignardé sa femme de cinq coups de couteau. La voix de Monsieur T. s’entrecroise avec celles de ses proches, des médecins et de l’autrice elle-même. Ce feuilletage de discours fait résonner, en chacun de nous, l’angoisse suscitée par l’oubli et l’effacement de la mémoire.
Reine Blanche, Paris
Au cours de cette « conférence-spectacle », Keti Irubetagoyena et Olivia Rosenthal abordent le thème de l’alimentation sous l’angle de « la production de déchets ». Dès 14 ans.
Théâtre des Sources, Fontenay-aux-Roses
Au cours de cette « conférence-spectacle », Keti Irubetagoyena et Olivia Rosenthal abordent le thème de l’alimentation sous l’angle de « la production de déchets ». Dès 14 ans.
Théâtre Ouvert, Paris
Au cours de cette « conférence-spectacle », Keti Irubetagoyena et Olivia Rosenthal abordent le thème de l’alimentation sous l’angle de « la production de déchets ». Dès 14 ans.
Pépinière Théâtre, Paris
Le festival Paris des Femmes favorise la création théâtrale au féminin depuis 10 ans. Chaque année, des auteures issues du monde des lettres, du théâtre, du cinéma sont invitées à écrire une pièce courte sur un thème commun. L'édition 2022 explore les variations des ruptures à travers huit pièces courtes.
Théâtre 14, Paris
On n’est pas là pour disparaître raconte l’histoire de Monsieur T., atteint de la maladie d’Alzheimer, qui, le 6 juillet 2004, a poignardé sa femme de cinq coups de couteau. La voix de Monsieur T. s’entrecroise avec celles de ses proches, des médecins et de l’autrice elle-même. Ce feuilletage de discours fait résonner, en chacun de nous, l’angoisse suscitée par l’oubli et l’effacement de la mémoire.
Les plateaux sauvages, Paris