Lors de ce cabaret transatlantique, nous examinerons ce qui constitue, mue, disloque ou réunit les différentes échelles du temps adulte, dans les mots de leurs dignes représentant·es. Il s’agira d’identifier où se tisse le commun à travers des portraits subjectifs, des procès de bonne foi, des utopies naissantes ou lasses, des envies ou pas d’un ensemble, d’un mieux partagé.
Faut-il encore embrasser les grands-mères, tuer les pères, rester de son temps et marteler que la jeunesse a tort ? La sagesse de l’âge est-elle parfois utile à celleux d’après ? Faut-il obligatoirement se comporter en héritier quand on nous confie un legs ? Quels fantômes généalogiques nous tourmentent d’une descendance à une autre ? À qui la faute si nous en sommes là ?
Scrutons-nous un instant dans nos secousses générationnelles. Car il suffit parfois d’une branche ajoutée à l’arbre pour que toute la forêt se redessine.
Lors de ce cabaret transatlantique, nous examinerons ce qui constitue, mue, disloque ou réunit les différentes échelles du temps adulte, dans les mots de leurs dignes représentant·es. Il s’agira d’identifier où se tisse le commun à travers des portraits subjectifs, des procès de bonne foi, des utopies naissantes ou lasses, des envies ou pas d’un ensemble, d’un mieux partagé.
Chaque génération avancera ses arguments en paroles binômes proférées par des Québécois·es et des Français·es, histoire de percevoir si les embarras sont les mêmes, que les racines poussent sur le vieux ou le nouveau continent.
La diction d'un des participants était mauvaise..Les dames ont bien joué.
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La diction d'un des participants était mauvaise..Les dames ont bien joué.
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